6.2.18 Notre Seigneur Jésus à Jnsr

De l’ouvrage « Hymne à Mon Eglise » :

- extrait du message « France défigurée » donné le 10 janvier 1994, pages 88 et 89 :

« O France qui ne peut encore accepter Celui qui doit te gouverner avec droiture, ne désobéis plus à Sa Sainte Loi; Son courroux est saint. Et toi, tu ne vois pas Sa main qui te dirige du haut des Cieux vers Son Refuge : Son Divin Sacré-Coeur.

Tu pleures tes terres inondées et tes récoltes pourries.

Tu pleures sur tes Enfants, tu pleures sur toi-même. Et tu ne vois pas ta faute : ce que tu as oublié de faire; tu n'as pas plié tes reins; tu n'as pas baissé ton front dans un Pardon sincère à Dieu; tu renies Sa Sainte Loi et tu refuses de te soumettre à la Volonté du Très-Haut. Ne vois-tu pas que tu es devenue défigurée ? Tu es toute couverte de boue.

Toutes les eaux du ciel, toutes ensemble et continues, ne peuvent te laver de honte car toi, Ma Fille bien aimée, tu rejettes le Don de Dieu. Mais tu n'es pas la seule. D'autres Nations sont comme toi: est-ce cela ta consolation ?

Ils sont nombreux les Pays qui M'ont rejeté et qui veulent se gouverner sans Dieu.

Je les plierai un par un devant Ma Sainte Face. Mais à présent Je vous laisse encore le Temps de la réflexion car, plus Je laisserai la Nature se révolter, plus vous serez dans la confusion. Car J'ai fermé vos esprits à Ma Vérité ».

De l’ouvrage « Vivez, avec Moi, les Merveilles de la Nouvelle Création du Père » :

- extrait du message « Le Seigneur S'adresse à Son Eglise » donné le 9 avril 1997, pages 251 et 252 :

« La France, que J'ai choisie pour que Mon Règne arrive sur la Terre; la France, qui reçoit l'Honneur d'accueillir son Roi et devenir, par Mon choix, la Souveraine des Nations après avoir reçu le titre de Fille Aînée de l'Eglise;

le Pays qui reçut la Grâce d'avoir pour Patronne principale Ma Très Sainte Mère;

la France de Marie ne pourra même plus être consolée par la douce Mère de Dieu, car l'offense au Père Eternel va fermer les Cieux et priver les Peuples de Sa Grâce;

et à la France en incombe toute la responsabilité, et c'est pour cela qu'elle va souffrir la première. Malheureusement, tout le Mal se retournera contre celle qui a reçu tant de Grâces de la part de Dieu ».

- extrait du message « Français, aide-Moi à réparer Mon Eglise » donné le 6 octobre 1997, page 374 :

« France, as-tu oublié la promesse de ton baptême ? Toi, Fille aînée de l'Eglise, tu es concernée aujourd'hui avec tous tes enfants, les Français, les François.

Français, réparez Mon Eglise.

Dans tous les Pays, les âmes ont besoin de vous voir à l'Oeuvre pour commencer à croire que Dieu veut être le Premier Servi. Ne passez plus à côté de Sa Sainte Croix sans la voir. Si elle vous interroge encore, laissez-vous pénétrer de son Message d'Amour, car vous serez sauvés que par Ma Croix.

Français, ne te couche pas, comme Jonas sous le ricin, pour attendre que Je ne te parle plus de Ma Croix, car J'écarterai de toi tout appui qui te soutient encore; tu te verras tomber et tu entraîneras avec toi une multitude.

Par Ma Sainte Croix, Je sauverai le Monde qui s'écroule. François, aidez votre Sauveur, Amen ».

De l’ouvrage « Et voici…le Secret de Marie » :

- extrait du message « L’Echelle mystérieuse de la France » (Saint Louis, Roi de France) donné le 25 août 2002, pages 75 et 76 :

« Toi, France, tu ne parles pas de ton Roi, ton Divin Jésus, pour que Son Règne soit connu déjà sur toute la Terre. Tu le sais, mais avant que Ma Sainte Lumière vienne t’interroger, du haut des Cieux tu entendras Mes Paroles, comme Adam M’entendait dans le Jadin de l’Eden :

"Tu as revêtu le Christ le jour de ton Baptême et Je ne te vois pas semblable à Moi. Qu’as-tu fait de ton Baptême ? Ton arbre généalogique, celui de la Maison de France, a propagé partout des fleurs de sainteté dont Saint Louis est le pur reflet. Sa conception de la vie chrétienne il l’a reçue de la Sainte Eglise. Il a été en même temps un Chrétien et un Roi de la descendance de David. Son métier, son devoir d’état, sa Religion même étaient d’être Roi de France. Il sut haïr le péché et n’aimer que Dieu".

A cette époque, du château et de la masure s’élevait la même Echelle mystérieuse touchant le Ciel, par laquelle les Anges montaient ou descendaient, portant les Prières ou ramenant les Grâces.

A vous, enfants de la France, pour que cette Echelle réapparaisse, demandez-Moi :

"Dieu de la France, pour qui Tu as un Amour privilégié, à cause des Saints et des Saintes qui ont donné leur vie pour Dieu et leurs frères en Dieu, et à cause de ses Rois saints, donne-nous celui qui doit venir avec Toi, ce fils de Roi rempli de Justice et de Paix, afin qu’il rétablisse cette Echelle tissée par Ta Loi de Justice et d’Amour Divin. Cette Echelle, qui fut aussi celle de Jacob, relie le Ciel à la terre de France, Fille aînée de l’Eglise, et à tous les Pays du monde" ».

Du quatrième fascicule des « Messages depuis le Secret de Marie » :

- extrait du message « Jésus-Christ, la France et le Pape » donné le 7 avril 2005, pages 13 et 14 :

« L’enfant insolent, qui s’insurge contre son Père en démolissant Sa Sainte Vérité, se place à côté des blasphémateurs. Il ne reconnaît plus Celui qui lui a donné Sa Vie. Ce pays choisi par Dieu, c’est la France, qui déchire la robe blanche de son Baptême et commet le parjure le plus abominable qui soit en reniant la promesse faite à son Baptême.

La Fille aînée de l’Église ne veut plus de cette distinction. Elle proclame, haut et fort, qu’elle est laïque et qu’elle préfère être indépendante des conceptions religieuses. Volontairement, elle exclut l’Église et toutes ses fonctions et se place à côté des impies pour ne pas les froisser. Jésus-Christ te demande, ô France :

A quoi sert ta vanité ? Ton choix entraîne tes enfants loin des valeurs chrétiennes. Personne ne peut rester neutre devant Ma question. Je la poserai à chacun des Peuples : France, M’aimes-tu ? Aimes-tu ton Seigneur et ton Dieu ? Ne sais-tu pas que celui qui n’est pas avec Moi est contre Moi ! Que veux-tu obtenir de Mes ennemis ? Des ovations, ces courbettes, des promesses. Ne sais-tu pas que tout flatteur vit aux dépens de celui qui l’écoute ? Comme une frileuse, ta fausse prudence te jette dans les rangs de l’Ennemi de Dieu et des hommes jusqu’à ta destruction complète. Ta loi institutionnelle se charge, à elle seule, de démolir les fondements de Mon Église. Mes Œuvres sont critiquées, Ma Loi d’Amour est rejetée. Mais Je t’annonce une grande nouvelle : le projet de tous Mes enfants fidèles.

Des quatre coins cardinaux, ils arrivent pour rebâtir l’Église née des Saints Cœurs Unis de Jésus et de Marie, ce qui a déjà été annoncé par votre Pape bien-aimé. Oui, l’Église vaincra. En elle est née ta Foi. Entends ton Maître, France ! Je te sauverai malgré toi, mais tu auras déjà goûté à ta propre moisson de larmes.

En Me rejetant, tu as semé la révolte et tu récolteras la haine des tiens des toutes parts. Tu goûteras aux fruits amers et rares de tes vergers. Tu fouleras tes terres arides sous le vent chaud ou le vent froid. Les rivages de tes fleuves et de tes mers seront couverts de poissons morts. En regardant tes nappes phréatiques diminuer, et dans l’impossibilité de les reconstituer, alors tu te rappelleras la grande sécheresse annoncée par ton Dieu fidèle à Dozulé. Avant que finisse cette épreuve, et lorsque tu auras goûté aux fruits décharnés de ton sol infécond, tu viendras en pleurant Me prier d’éloigner de toi le malheur qui affecte toutes les régions et ceux qui les habitent. Avec ton Repentir sincère, Je te montrerai ton Pardon.

Tu verras alors combien de Nations tu as entraînées à ta suite et que, par ton Repentir, seront relevées avec toi

La Perfection est dans la Loi du Seigneur. Votre Pape vous a toujours guidés sainement et saintement. Et, sans que vous vous en doutiez, un grand nombre d’enfants de Dieu, jeunes et moins jeunes, vont se retrouver sur l’autre rive, celle qui est éclairée par le Soleil de Dieu, et où l’on voit les pas de votre Seigneur Jésus-Christ qui vont jusqu’à la Maison du Père Très Bon.

Ceux qui ont choisi de suivre Mon enfant-choisi, votre Pape, ne sont pas restés orphelins A son départ de la Terre, il a fait de vous des militants qui combattront pour la plus noble des causes : rebâtir l’Église de Jésus-Christ avant qu’elle ne s’écroule tout à fait, asphyxiée par le modernisme qui abolit petit à petit la Loi d’Amour de Dieu qui est le fondement de l’Église :

"Tu aimeras ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de toutes tes forces et ton prochain comme toi-même". J'ajoute : "Tu porteras, avec Moi, ta Croix qui est aussi Ma Croix. Par elle, tu seras sauvé. Avec elle, tu triompheras de tous tes ennemis qui sont aussi les Miens. Et lorsque tu verras Ma Croix d'Amour toute illuminée dans le ciel, "Je suis là" tu chanteras avec Moi, ton Dieu qui portera Sa Croix Glorieuse ».

Du quatrième fasciculedes « Messages depuis le Secret de Marie » :

- extrait du message « Pour Mon Église et pour la France » donné le 4 juin 2005 (Sainte Clotilde), pages 32 à 34 :

« Dieu aime la France et les Français. C'est aussi le choix de Ma Sainte Mère à qui Je ne refuse rien. C'est pourquoi ce choix ira jusqu'à la fin du monde.

Un enfant choisi de Dieu est un privilégié. Malgré ses turbulences, le Père lui pardonne à chaque fois car cet enfant est l'enfant-prodigue qui Lui reviendra un jour, repentant et guéri de toutes ses mésaventures, beau comme un soleil et reconnaissant au point de donner à son Père un bonheur digne de l'Amour qu'il a reçu, jusqu'à ce jour, de Celui qui est Père et Roi de chaque Nation, de chaque enfant, Dieu, L'Eternel.

La France, par la Sainte Grâce du Très-Haut, est devenue, par le Choix Divin, le modèle de toutes les Nations, c'est le Choix Royal de Dieu. Et Sa Sainte Patronne est la Bienheureuse Vierge Marie, Mère de Dieu.

L'histoire de la France s'inscrit en lettres d'or dans l'histoire du Maître de l'Histoire.

Elle a été choisie par Jésus-Christ pour montrer à chaque nation ce que Jésus attend d'elle.

Je suis le Maître de l'Univers. L'Univers repose sur Moi.

Toutes les valeurs de la Terre sont à Dieu, comme tous les biens que vous possédez, Dieu vous les donne et d'eux-mêmes, un jour ils retournent à Dieu. Vous ne pouvez pas Me retirer pour longtemps l'appartenance de vos nations, de vos familles, de vos biens, car rien ne vous appartient. En Vérité, tout est à Dieu.

En ces temps, vous luttez désespérément pour maintenir l'équilibre de votre monde qui devient toujours plus incertain. Tous les pays, du Nord au Sud, de l'Est à l'Ouest, veulent se regrouper pour réunir leurs forces. Ils sont déjà inquiets devant la menace d'une nouvelle guerre. Il est vrai que vous êtes encore assez primitifs pour vouloir lutter les uns contre les autres. Et pour défendre quoi ? Pour acquérir quoi ? Quelle serait cette nouvelle victoire ? Par les armes, rien ne peut se régler. Et quelle est cette victoire qui vaut le prix de la Mort ?

Nation choisie entre toutes les Nations, La France est, comme son Dieu Jésus-Christ, Chrétienne. Elle fut baptisée avec son Roi Franc, Clovis 1 er. Ce fut en 496 que la France, avec son Roi et son armée, reçut son Baptême des mains de Saint Rémi à Reims.

Cet évènement divin fut marqué par un grand Miracle : le Baume Béni employé par l'Évêque en cette occasion, vint à manquer. C'est alors que le Saint-Chrême fut apporté dans les airs par une colombe blanche qui tenait la fiole en son bec et la déposa dans les mains de l'Évêque Saint Rémi qui, tout ravi, fit cette Consécration et proclama que le Saint Esprit était bien présent pour la Baptême de la France, de son Roi et des son armée.

La France est le pays qui doit conserver, avec les valeurs chrétiennes reçues en 496, son titre de Fille Aînée de l'Église et d'Educatrice de toutes les Nations.

Je lui ai donné Ma Sainte Mère, la Bienheureuse Vierge Marie, pour Sainte Patronne. Tous les rois sont chrétiens, nés de la Descendance de David comme Moi-même de par Mon Père Nourricier Saint Joseph. Voyez la Main de Dieu :

Je fis d'une humble paysanne, Sainte Jeanne d'Arc, un Soldat pour défendre la France de l'ennemi de son Église. L'armée de France, depuis Clovis, est chrétienne. Les Sacrements donnent la Sanctification et l'Église reconnaît sept Sacrements : le Baptême, la Confirmation, l'Eucharistie, le Pardon, le Sacrement des malades, l'Ordre, le Mariage.

Sainte Jeanne d'Arc donna sa vie pour que son pays garde son identité. Ainsi, la France reste à jamais la Fille Aînée de l'Église et son roi, Charles VII, est chrétien. Ma Sainte Mère, la Bienheureuse Vierge Marie, a béni Sainte Jeanne d'Arc et l'a unie à Son Patronat dans le Cœur de la France.

Je suis l'Église.

Elle est gardée à jamais dans Mon Sacré Cœur. Ma Parole demeure de siècle en siècle. Elle est éternelle. Ma Miséricorde est infinie comme Mon Pardon. Dieu regarde le Monde et le bénit. Je fais tourner la face des choses lorsqu’elles se présent mal. Ma politique est celle de l’Amour et du Partage et Je n’agirai pour un enfant ni plus ni moins que pour un autre. Dans Mon Sacré Cœur, vous êtes tous égaux.

Je vous demande à nouveau d’aimer votre Pays de naissance et le respecter, comme vous devez respecter et aimer également le Pays qui vous accueille. Moralement, chacun d’eux est tenu de vous venir en aide, comme une mère, et chacun de vous, comme un enfant, vous devez le chérir et le bénir. Cette Providence, qui est la Part de Dieu, s'appelle l'accueil et l'hospitalité. Je l'appelle l'Amour du prochain.

J'ai choisi la France pour être le modèle de chaque Pays : généreux pour ses enfants, hospitalier pour ses voisins.

Un Pays qui cherche la Paix, qui défend les intérêts de ses enfants tout en respectant le bien d'autrui, qui continue à servir de modèle, sera soutenu par la Main de Dieu mais sera châtié lorsqu'il s'éloignera de Lui.

Aujourd'hui, J'ai décidé de faire de la France Ma Servante obéissante. Elle ne s'égarera plus sur de mauvais chemins, elle ne suivra plus aucun loup autoritaire, elle ne se perdra plus dans des choix incertains qui pourraient la conduire dans ces cruelles faillites qui sont les ruelles sombres où les pays s'asphyxient.

Je viens l'éclairer : devant elle Je mettrai Ma Lumière et les trous d'ombre disparaîtront. Tous ses grands Saints veillent sur elle et tous ses Rois chrétiens la protègent. Elle est toujours la pépinière des plus belles Fleurs de la Religion Chrétienne. A son ombre, les couvents, les monastères, les abbayes, les cathédrales, les églises, se sont remplies d'enfants qui Me suivent.

Si Moi, son Dieu, Je lui ai donné un Cœur généreux, un caractère tempérant, Je ne lui demande pas moins : de se montrer toujours avec son front haut et fier, d'être Chrétienne et de représenter, partout, le Titre que Dieu lui a donné : France, Fille Aînée de l'Église.

Quant à Mon Église de la Terre, aujourd'hui Je lui demande de renouveler la Foi de son Baptême. Je M'adresse à tous les Évêques de France : "France, Fille Aînée de l’Église, Dieu renouvelle ton Baptême et le confirme par la Sainte Confirmation qui t’affermit dans la Grâce de ton Baptême Royal. Amen »

Cette Confirmation doit être faite avec le Chef de l’État français qui a reçu la Grâce de recevoir également son Baptême [Il est ici question du Président Jacques Chirac]. Jésus-Christ et Son Église lui seront reconnaissants. Amen. Jésus-Christ ».

Du neuvième fasciculedes « Messages depuis le Secret de Marie » :

- extrait du message « Je parle à tout Mon Peuple : écoutez-Moi » donné le 22 janvier 2008, pages 44 et 45 :

« Sous le simple, mais cruel prétexte de la laïcité pour tous, une force se manifeste à nouveau en votre pays[la France] qui porte tant de souvenirs chrétiens. Que la France ne se sente pas à l’abri, car elle a déjà presque adopté la laïcité qui la rend semblable à une statue dont le buste a encore l’apparence de la vie (c’est son passé chrétien) et le bas du corps est d’une matière nouvelle, une sorte de plâtre diversement coloré et prêt à se morceler, comme ce Pouvoir du moment attaqué de toutes parts. Cette statue chancelante, c’est la France d’aujourd’hui, alors qu’elle devait soutenir tous les pays et montrer sa puissance auprès de tous en tant que Fille aînée de l’Église. Comme ce fut le cas également pour l’Italie où les forces ennemies du Christ voulaient marginaliser l’Église et le Pape, Vicaire du Christ sur la Terre ».