6.3.2 L’ascendance Davidique des Rois de France

6.3.2.1 La vraie grandeur de la France est le pouvoir royal de David

De l’ouvrage « Ascendances Davidique des Rois de France », pages 14 à 16 :

« La Providence permit que le 18 décembre 1978 on me montrât plusieurs lettres de l'un des confidents et secrétaire à l'occasion du Padre Pio. Ces lettres remontaient à 1972 et étaient adressées à un pieu religieux de mes amis. J'en ai les copies et vous en cite les parties les plus importantes ; le tout écrit par un Italien, dont je vous conserve le style :

- 25 février 1972 :

« Très cher Père, le Padre Pio me disait : "Sans le soutien du pouvoir royal de David, l'Église tombe en décadence sous le pouvoir de l'esprit du serpent qui relève sa tête orgueilleuse sur le chef de l'Église". Le Padre Pio disait que " le pouvoir Royal est un pouvoir divin qui abaisse les serpents. Les républiques par contre relèvent de terre les esprits serpents lesquels sacrifient le peuple de Dieu, l'empêchant de s'élever vers le Dieu du Ciel.. C'est aujourd'hui le mal de l'Europe sous les républiques " disait le Padre Pio ... ».

- Lettre du 5 mai 1972 :

« Un jour le Padre Pio me parla d'un très important Testament caché au Vatican. Il s'agit du Testament de la Duchesse d'AngoulêmeCe Testament aurait révélé non seulement le mystère du Dauphin mais encore le sien Pour le bien de la France, de l'Italie et du monde, un tel Testament ne peut rester secret... ».

- Lettre du 6 novembre 1972 :

« Padre Pio savait que la France cache un pouvoir qui se révélera à l'heure établie (C'est-à-dire à l'heure de Dieu)... Dans le monde manque le pouvoir royal que Dieu a caché en ces temps de folie.

Le pouvoir royal seulement, celui que Dieu donna à David, est capable de régir le gouvernement des peuples.

Sans le pouvoir royal de David, reconnu et mis à sa juste place, me disait le Padre Pio, la religion chrétienne n'a pas le soutien indispensable sur lequel appuyer la Vérité de la parole de Dieu.

La folie des hommes a été de tenter de tuer la royauté ; le monde le paye encore aujourd'hui, car sans le véritable Roi promis par Dieu parmi les descendants de David, le pouvoir de Dieu ne réside plus dans le cœur des chefs d'Etat et des ministres.

Mais Satan tire avantage à remplacer le pouvoir royal du David vivant. Que le malheur du monde sera grand avant que les hommes puissent comprendre cette vérité. La vérité est aujourd'hui dans le cœur de peu d'hommes élus et cachés, mais, dans ces hommes, il y a tous les pouvoirs du Dieu vivant qui veut et peut détruire tous les usurpateurs des pouvoirs véritables... ».

- Lettre du 20 novembre 1972 :

« L'amour du cœur de la france royale, patrie de la royauté sortie de la descendance de david ressort ressuscité en ses heritiers... le pouvoir de royauté de David doit réveiller dans les cœurs des français l'amour de la royauté de Dieu qui a en France son berceau.

La vraie grandeur de la France est le pouvoir royal de David qui fut en terre de France, dans le sang du Roi Louis XVI et de Marie-Antoinette. La France fut pardonnée par le grand cœur du Roi Louis XVI et de Marie-Antoinette, morts victimes pour le Christ par la brutalité de la bête (la révolution diabolique).

Le pardon du Roi Louis XVI a maintenu a la France le droit à la grandeur de la royauté de David, qui est amour et humilité, celui de reconnaître, dans le monarque, le pouvoir de l'amour divin...Dans le silence et la prière, Dieu choisira ses élus pour le bien de la France et du monde,...pouvoir divin et humain du grand monarque du sang royal de France ».

6.3.2.2 Ascendances Davidiques de Notre-Seigneur par la Très Sainte Vierge Marie

De l’ouvrage « Ascendances Davidique des Rois de France », page 27 :

« L’ascendance Davidique de Notre-Seigneur par Sa Mère est relatée dans l’Evangile de Saint Luc.

Cette ascendance était double, car la Reine du Ciel et de toute la Création avait pour ancêtres deux des fils de David : le Roi Salomon, dont la descendance est relatée dans l’Evangile de Saint Matthieu, et Nathan dont la postérité a été décrite par Saint Luc.

En effet, Eléazar, au 24 ième degré de la descendance de Salomon et arrière-grand-père de Saint Joseph, eut une fille qui épousa Lévi, le grand père de Saint Joachim, Père de la Très Sainte Vierge Marie, et aussi de Saint Joseph d’Arimathie […]. Ajoutons que par sa Mère, Sainte Anne, Marie descendait des Grands-Prêtres. Toutes ces généalogies sont inscrites dans la Bible ».

6.3.2.3 Les serments renouvelés de Dieu à la race de Jacob-Israël, de Juda et de David

De l’ouvrage « Ascendances Davidique des Rois de France », pages 59 à 63 :

« Tout au long de l'Ancien Testament, avec les chefs de son peuple privilégié, Dieu veut s'engager, et toujours par serment, et souvent dans les mêmes termes. Ce fait est capital et doit être très spécialement souligné.

Avec Noé : "J'établirai mon alliance avec vous et avec votre postérité " (Gn 9,8-9).
Avec Abraham : "J'établirai mon alliance avec vous et Je multiplierai votre race à l'infinivous serez père d'une multitude de nations... Je vous rendrai fécond à l'infini. Je ferai sortir de vous des nations et des Rois. J'établirai mon alliance entre Moi et vous et vos descendants après vous dans la suite de leurs générations par un pacte éternel en vertu duquel Je serai votre Dieu et celui de votre postérité après vous " (Gn 17,1-7.15-19 ; Gn 18,18-19).

Avec Jacob : "Ecoutez, Jacob, mon serviteur, et vous Israël que J'ai choisi pour être Mon Peuple bien-aiméNe craignez point, ô Jacob, mon serviteur, vous qui marchez dans la droiture du cœur, et que J'ai choisi pour mon héritage particulier, car Je répandrai mon esprit sur votre postérité et mes bénédictions sur votre race " (Isaïe 44,1-3 et Ex 6,2-8).

Et encore : "Juda est un jeune lion. Le sceptre ne sera pas ôté de Juda, ni le Prince de sa postérité, jusqu'à ce que soit venu Celui qui doit être envoyé; et c'est Lui qui sera l'attente des nations" (Gn 49,9-10).
Avec David : "Car ainsi parle le Seigneur : "David ne manquera jamais d'un successeur assis sur le trône de la Maison d'IsraëlDe même qu'on ne peut compter les étoiles, ni mesurer le sable de la mer, de même Je multiplierai la race de David mon serviteur" (Jr 33,14-17.22).

Dieu ordonne au prophète Nathan :

« Vous direz donc ceci à mon serviteur David : "Voici ce que dit le Seigneur des Armées : Je vous ai choisi lorsque vous meniez paître les troupeaux, afin que vous fussiez le chef de mon peuple d'Israël. Partout où vous avez été, j'ai exterminé vos ennemis devant vous... de plus le Seigneur vous promet qu'il fera votre maison puissante... Je mettrai sur votre trône, après vous, votre fils, et Je rendrai le trône de son royaume inébranlable à jamais. S'il commet quelques fautes, je le punirai, mais je ne retirerai point ma miséricorde, comme je l'ai retirée à Saül que j'ai écarté de devant ma face. Votre maison sera stable; vous verrez votre royaume subsister éternellement et votre trône s'affermira pour jamais" (2 S 7,8-29).

Remarquez-le bien, c'est par avance la proclamation de la Loi Salique, cette Loi qui permettra la réalisation des promesses de Dieu concernant la pérennité de la Race de David jusqu'à la consommation des siècles. Et le verset 19 confirme et renforce encore ce serment divin, car il précise : " C'est la loi des enfants d'Adam ". Et pour bien marquer son inébranlable volonté, Dieu tint à confirmer Son serment à plusieurs reprises : " Le Seigneur a fait à David un serment véritable et il ne le trompera point. J'établirai sur votre trône le fruit de votre ventre".

Le psaume 88 est lumineux :

«...J'ai trouvé David, mon serviteur ; Je l'ai oint de mon huile Sainte. Car Ma main l'assistera, et mon bras le fortifiera. L'ennemi n'aura jamais l'avantage sur lui, et le fils d'iniquité ne pourra lui nuire. Et Je taillerai ses ennemis en pièces devant lui, et Je mettrai en fuite ceux qui le haïssent. Ma vérité et ma miséricorde seront avec lui, et par mon nom s'élèvera sa puissance... Il m'invoquera : "Vous êtes mon Père, mon Dieu, et l'auteur de mon salut ". Et moi, Je ferai de lui le premier-né, le plus élevé des Rois de la terre (Versets 21 à 28).
"Je conserverai à David éternellement ma miséricorde et je ferai subsister sa race dans tous les siècles et son trône autant que les cieux. Si ses enfants abandonnent Ma loi et s'ils ne marchent pas dans mes préceptes, s'ils violent la justice de mes ordonnances et s'ils ne gardent pas mes commandements, Je visiterai avec la verge leurs iniquités et Je punirai leurs péchés, mais Je ne retirerai point de dessus lui ma miséricorde et Je ne manquerai point à la vérité des promesses que je lui ai faites. Je ne violerai point mon alliance, et Je ne rendrai point inutiles les paroles qui sont sorties de mes lèvres. J'ai fait à David un serment irrévocable par mon Saint Nom et je ne lui mentirai point: je lui ai promis que sa race demeurera éternellement et que son trône sera éternel en Ma présence comme le soleil ..." (Versets 29 à 38).
Ainsi, Dieu a fait à David le serment irrévocable que ses descendants régneraient jusqu'à la fin des temps (1), et les termes de ce serment renouvelé sont tels qu'ils ne s'appliquent pas seulement au double sens mystique et réel en la Personne du Christ, Fils de Dieu, Dieu Lui-même, qui règnera en effet éternellement, mais à la race elle-même. Que sont-ils devenus ? Quel trône occupent-ils donc les descendants de David et de ces Rois qui régnaient sur le peuple Elu de l'Ancien Testament ? ».

Note :

(1) : « Serment renouvelé également à Salomon ».

6.3.2.4 Les promesses de Saint Remi aux Rois de France

De l’ouvrage « Ascendances Davidique des Rois de France », pages 65 à 70 :

« Saint Rémi, le grand thaumaturge et l'Apôtre des Francs, le Légat du Successeur de Pierre, va éclaircir le mystère. Je vous rappelle que le Pape Saint Hormisdas, en instituant Saint Rémi son Légat pour tout le royaume de France, lui avait écrit : " Nous vous donnons tous nos pouvoirs pour tout le royaume de notre cher fils spirituel, Clovis, que par la grâce de Dieu, vous avez converti avec toute sa nation par un apostolat et des miracles dignes du temps des Apôtres". Lors du Baptême et du sacre de Clovis, Saint Rémi, inspiré, adressa au roi l'allocution prophétique suivante : "Apprenez que le royaume de France est prédestiné par Dieu à la défense de l'Eglise romaine qui est la seule véritable Eglise du Christ ..."Ce royaume sera un jour grand entre tous les royaumes, il embrassera les limites de l'empire romain et il soumettra tous les peuples à son sceptre... Il durera jusqu'à la fin des temps !" Il sera victorieux et prospère tant qu'il sera fidèle à la Foi Romaine, mais il sera rudement châtié toutes les fois où il sera infidèle à sa vocation". Remarquez encore que, tout comme Dieu le Père se fit entendre lors du Baptême du Christ, Notre Seigneur, au jour même anniversaire de son Baptême, tint à faire entendre sa voix : "N'ayez point peur, c'est Moi, persévérez dans ma dilection". Et le Saint Esprit voulut apparaître sous la forme de la Colombe en apportant à Saint Rémi le Baume de la Sainte Ampoule, afin que les Rois de France soient sacrés avec une huile céleste pour les marquer très spécialement de ses sept dons et leur accorder la guérison miraculeuse des écrouelles à partir de leur sacre, mais seulement après avoir reçu la Sainte Communion...Et Saint Rémi, inspiré une fois de plus, tint à confirmer dans son testament les promesses, qu'au nom de Dieu, il avait faites à Clovis et à ses successeurs, les Rois de France, jusqu'à la fin des temps. Je vous rappelle que Saint Pie X - lui aussi inspiré - avait déclaré, lors de la lecture du décret de Béatification de Jeanne d'Arc : " Vous direz aux Français qu'ils fassent leur trésor des testaments de Saint Rémi, de Charlemagne et de Saint Louis, qui se résument dans ces mots si souvent répétés par l'héroïne d'Orléans : "Vive le Christ qui est Roi de France" ! Voici les parties essentielles du testament de Saint Rémi : "...Par égard seulement pour cette race royale qu'avec tous mes frères et co-évêques de la Germanie, de la Gaule et de la Neustrie, J'ai choisi délibérément pour régner jusqu'à la fin des temps au sommet de la majesté royale pour l'honneur de la Sainte Église et la défense des humbles... J'ai arrêté ce qui suit.

1° - Malédictions :

" Si un jour cette race royale que j'ai tant de fois consacrée au Seigneur rendait le mal pour le bien, Lui devenait hostile Que le coupable soit averti, etc. Si à la septième monition, il persiste dans son crime, trêve à l'indulgence ! Place à la menace !

2° - Bénédictions :

" Si Notre Seigneur Jésus-Christ daigne écouter les prières que je répands tous les jours en sa présence spécialement pour la persévérance de cette race royale, suivant mes recommandations, dans le gouvernement de son royaume et le respect de la hiérarchie de la Sainte Eglise de Dieu, qu'aux bénédictions de l'Esprit Saint déjà répandues sur la tête royale".
"Que de cette race sortent des rois et des empereurs qui, confirmés dans la vérité et la justice pour le présent et l'avenir suivant la volonté du Seigneur pour l'extension de la Sainte Eglise, puissent régner et augmenter tous les jours leur puissance et méritent ainsi de s'asseoir sur le trône de David dans la céleste Jérusalem où ils règneront éternellement avec le Seigneur. Ainsi soit-il".
Saint Rémi vous le remarquerez, tient à citer le trône de David, et ce n'est certainement pas sans raison. C'est la répétition du serment fait par Dieu à David comme aussi celle des malédictions et des bénédictions. Certains qui se disent historiens - ils en est même "à droite " - qui refusent de reconnaître le surnaturel dans l'histoire, ou d'autres dans leur haine satanique de ce même surnaturel, prétendent nier l'authenticité du Testament de Saint Rémi, et ce malgré la recommandation de Saint Pie X. Précisons donc que l'abbé Dessailly, membre de l'académie de Reims, a prouvé, au siècle dernier, l'indiscutable authenticité de ce document fondamental pour l'Histoire et la mission providentielle de la France. Il prouve, notamment, que pour défendre les droits de leur Eglise de Reims, les archevêques, au cours des siècles, se sont toujours appuyés sur le testament de Saint Rémi et, d'autre part, que les rois de France - alors même que cela allait à l'encontre de leurs intérêts - se sont toujours inclinés (1). Comme les rois de France ont été fidèles ! Le nombre de couronnes que leur race a portées le prouve ! Et Baronius, 1e savant Cardinal historien de l'Eglise, après onze siècles d'expérience, constate : "Le royaume de France n'a jamais passé sous une domination étrangère et le peuple français n'a jamais été réduit à servir d'autres peuples." Et l'éminent Cardinal rapproche l'histoire de France de celle du peuple élu de l'Ancien Testament : " C'est cela qui a été accordé par une permission divine au prières de Saint Rémi suivant la parole de David (Psaumes, 88,31-35) : "Si mes fils abandonnent ma loi, s'ils ne marchent point les voies de mes jugements ; s'ils profanent mes justices et gardent point mes commandements, je visiterai leurs iniquités avec la verge et leurs péchés avec le fouet, mais Je n'éloignerai jamais de ce peuple Ma Miséricorde"(2). C'est avec raison que Monsieur le Comte de Chambord rappelait, le 2 Décembre 1858 : "Je ne suis pas un prétendant, mais un principe" ».

Note :

(1) : « Abbé Dessailly : Authenticité du Grand Testament de Saint Rémy, Editions Saint-Rémi, BP 79, 33410 Cadillac ».
(2) : « César Baronius : Annales Ecclesiastici, tome 6, pages 635 et 636, de l’édition de 1601 ».

6.3.2.5 Les documents qui prouvent cette ascendance

De l’ouvrage « Ascendances Davidique des Rois de France », pages 71 à 80 :

« Ceci dit, parlons maintenant des documents qui établissent les faits historiques. Pour étudier ce sujet qui fait l'objet cette conférence, il convient de se reporter, selon les époques que l'on étudie, aux ouvrages suivants :

En France : La tradition générale de l'Ancien Régime était que les Rois de France descendaient d'un fils de Priam dont la postérité, après la destruction de Troye, s'était réfugiée d'abord en Pannonie, puis en Flandre, du côté de Tournay. Nombreux sont les Historiens anciens qui parlent de cette origine. Rappelons que d'après Scipion Dupleix l'historiographe de France, Pépin le Bref assurait descendre d'Hector, dit Degembard, qui était issu des anciens rois Troyens. La préface du " Recueil des Historiens des Gaules et de France " par Dom Bouquet (édition de Léopold Delisle, 1869) précise, page 21 : "L'Historien Joseph dit que les Gaulois viennent Gomar, fils aîné de Japhet. Gomar, dit-il, a été le père fondateur des Gomarites, que les Grecs appellent Galates ou Gaulois. Eustache d'Antioche, Saint Jérôme, Isidore, la Chronique Pascale, Joseph, fils de Gorion, donnent la même origine aux Gaulois. Joseph n'a point forgé cette opinion son chef ; il est plus vraisemblable qu'il l'a puisée dans quelques anciens monuments. Il ne faut donc pas la rejeter légèrement ... " (1, page 22). Grégoire de Tours écrit : "Quelques-uns racontent que Francs sont venus de la Pannonie, et que d'abord ils ont habité les rivages du Rhin". La préface du tome 2 du Recueil des Historiens des Gaules et de la France, page 24, écrit à ce sujet : " L'auteur des Gestes du Roi de France, Paul Diacre dans son livre des Evêques de Metz, le Moine Roricon, Aimoin Moine de Fleury, Sigebert de Gemblours, et tous ceux qui les ont suivis, ont regardé cette origine comme véritable". Frédégaire, qui vivait sous Dagobert I er, leur donne comme origine la ville de Troye, puis la Pannonie et les bords du Danube. Le Recueil des Historiens des Gaules et de la France cite les " Gesta Regum Francorum " (2, pages 542 à 544), "Ex veteri Chronico Moissiacensis seu Musciacensis Cœnobii" (2, page 648), la " Chronica Regum Francorum breviter digesta " par un auteur inconnu (2, page 663), qui font remonter les Rois de France aux rois Troyens. Et aussi les documents suivants qui, sans parler de l'origine troyenne les font remonter à des chefs francs mentionnés dans les documents qui parlent de leur ascendance troyenne : "Historica quædam exerpta ex veteri stemmate genealogico Regum Franciæ" (2, page 665), la Chronique d'Adon, Archevêque de Vienne (2, page 666), les "Annales Francorum Fuldenses" (2, page 673), ainsi que toute une série de généalogies des Rois de France qui se rattachent à la même origine (2, page 695 et suivantes). La " Chronique de Tongres " donne la liste des princes des Francs en Pannonie pendant les 528 ans où ils y demeurèrent. Barthélemy de Mesme, dans sa chronique écrite au 14 ième siècle et qui se trouve à la Bibliothèque de Berne, en Suisse. César Nostradamus, le fils de Michel, dans ses " Chroniques de Provence " fait remonter l'origine des Rois de France à la plus haute antiquité. Jacques de Charron, en 1630, a publié une " Histoire généalogique des Rois de France depuis Adam jusqu'à Louis XIII ". François-Eudes de Mezeray, le frère de Saint Jean-Eudes, sans affirmer cette origine, écrit cependant dans son "Histoire de France" : "Il y en a aussi qui, remontant jusqu'à la guerre de Troye, les font descendre d'une colonie de Troyens, conduits après la destruction de cette ville par Scamandre, dit Francus, fils d'Hector, sur les bords de ces mêmes Palus (Méotides), opinion qui n'est pas tout à fait sans défense ...". L'Abbé Honoré Bouche, docteur en théologie, dans sa "Chronique de Provence" publiée en 1664, indique l'ascendance troyenne. Mentionnons également à consulter à propos de la Guerre de Troie, l'ouvrage du Baron de Behr : " Recherches sur l'Histoire des Temps héroïques de la Grèce ", publiée en 1856 à Paris. Simon Pelloutier, en 1741, a publié à Paris : "Histoire des Celtes et particulièrement des Gaulois et des Germains". Monsieur de Limiers, dans les "Annales de la Monarchie Française", publiées en 1724, donne de nombreux tableaux généalogiques des ascendances royales et notamment, à la page 200, cite quarante et un degrés des Rois et Princes des Francs au-dessus de Clovis et montre également l'unité de race des trois branches royales. Le premier degré est en l'an 3.509 du monde "Marcomir, fils d'Antenor, Roy des Cimbres près la Mer Noire, descendu des Troyens". Chasot de Nantigny, notamment dans le tome des "Généalogies Historiques des Rois, Empereurs, etc. et de toutes, les Maisons Souveraines qui ont subsisté jusqu'à présent", publié en 1736 donne, page 110, les généalogies des Rois Troyens de 2.489 à 2.524 du monde et celles des Rois des diverses parties du Proche-Orient et d'Orient avant Notre Seigneur et les trois volumes suivants vont jusqu'au 18 ième siècle. Dans le tome 111, pages 2 et 6, il fait descendre nos Rois de Priam, duc des Francs. Koch, dans les " Tables Généalogiques des Maisons Souveraines de l'Europe ", en deux volumes publiés en 1782 et 1818, dans le tome 2, donne les origines des maisons descendant d'Odin, dont les ancêtres venaient de la région de la Mer Noire. Jacques Saillot doit être consulté dans sa "Chronologie Universelle des Souverains et Chefs d'Etats" et dans son "Clovis, Roi des Francs et ses ancêtres paternels et maternels". Toutefois, nous ne pensons pas que les Rois de France soient de la race d'Odin, comme il le croit. Ils en descendent seulement, mais par les femmes. Ajoutons que les ouvrages et auteurs suivants affirment l'unité de race des trois branches royales. Le Cartulaire de Hugues Capet, manuscrit N° 7329 du fonds français de la Bibliothèque Nationale établit l'unité des trois branches royales de France. Le Père Dominique de Jésus, complété par le Père Modeste de Saint-Amable, dans sa "Monarchie Sainte, Historique, Chronologique et Généalogique", publiée en 1677, donne des tableaux généalogiques très importants. "L'Art de vérifier les dates", des Bénédictins, cite Dom Merle, l'historiographe de Bourgogne, et établit irréfutablement l'ascendance commune des Carolingiens et des Capétiens. Drudes de Campagnolles a publié deux plaquettes, en 1817 : " Coup d' œil sur l'unité d'origine des trois branches Mérovingienne, Carolingienne et Capétienne ". Piganiol de la Force dans sa " Nouvelle description de la France ", au tome premier, écrit :    "Le Royaume de France a commencé l'an de l'ère vulgaire 420 et depuis ce temps-là a toujours été successif de mâle en mâle et gouverné par soixante cinq rois tous issus de la même Maison ..." Citons encore le "Grand Dictionnaire Historique" de Moréri, sans oublier les Bollandistes qui, dans la Vie des Saints donnent de très nombreuses indications qui complètent très heureusement les grands travaux généalogiques. Le colonel Longin-Splinder a donné une intéressante étude sur " La Bible, sa valeur au point de vue historique, géographique et documentaire ", Paris 1952. Bouillet, dans son " Dictionnaire Universel d'Histoire et de Géographie ", mentionne cette ascendance (page 1184, chez Hachette, en 1914. La première édition étant de 1860).
Enfin, dans un tout autre domaine, rappelons l'ouvrage de l'Abbé Boudet, cité antérieurement, "La vraie langue celtique", qui a montré les rapprochements qui s'imposaient entre les langues des peuples Japhétiques du Midi de la France comme aussi ceux à faire entre la langue hébraïque et la langue celtique, notamment dans les étymologies... Rien de surprenant puisque Gomer, le fils de Japhet, est la souche de la grande famille celtique. Etc.

En Suisse : La Bibliothèque de Berne possède un manuscrit intitulé " Généalogie des Rois de France depuis Anténor, fils de Priam (le Troyen) jusqu'à Charles VI ". Et aussi la Chronique de Barthélemy de Mesme, du 14 ième siècle, dont nous avons déjà parlé.

En Allemagne : L'historien Trithème, à Spanheim au 16 ième siècle, est à mentionner. Une étude serait à faire en Autriche et en Italie quant aux origines des Maisons de Habsbourg et de Savoie. Précisons, sans prendre parti, que selon Stabius, Taque Manlius, Synthemius, Trithème, Lazius, Piespodius et Chiflet, la Maison de Habsbourg descendrait saliquement de Clotaire I er, Roi de France, ainsi que Chasot de Nantigny le mentionne avec d'autres systèmes dans le tome 4 de son ouvrage, page 229.

En Angleterre : La plupart des grandes publications généalogiques, plus ou moins officielles concernant la Maison Royale anglaise établissent son ascendance davidique. Citons de très anciens manuscrits précieusement conservés : " Les Chroniques d'Irlande ", le "Langfeldgatal". Le Herald Collège de Londres possède une "Généalogie des Rois Saxons" qui indique qu'Odin était de la Race de David, etc. Il serait facile de mentionner de nombreux documents, mais ce serait fastidieux. Je mentionnerai seulement les auteurs suivants : James Anderson et ses "Royal Genealogies of Adam to the times" en 1712. Ouvrage capital sur la question et qui établit que toutes les Maisons Souveraines d'Europe descendent de David. Roger O'Connor, en 1822, relate la migration d'une tribu d'Israël en Irlande et traduit un manuscrit du dialecte phénicien et du langage scithe qui montre que les trois noms donnés à l'Irlande sont hébreux. Bernard Burke, en 1851, publie "The Royal Families of England, Scotland, Walls with thein Descendants". Le Pasteur F.R.A. Glover : "Israëls Wanderings" (Les Migrations d'Israël), puis en 1860 et en 1881 " England remnant of Judah and the Israël of Ephraïm ". Le docteur Wilhem Thomsen, professeur de Philologie comparative à l'Université de Copenhague au Danemark : "The relations between Ancient Russia and Scandinavia and the Russian State". Le pasteur W.M. Milner publie " The Royal House of Britain an enduring Dynasty " (La Maison Royale de Grande Bretagne, une dynastie qui dure). Cet ouvrage, entre 1902 et 1975, a eu quatorze éditions- et contient un immense tableau généalogique sous le titre "The Illustrious Lineage of the Royal House of Britain" qui part de Juda et va sans interruption jusqu'à la Reine Elisabeth II. Ce tableau établit, comme James Anderson, que toutes les Maisons Souveraines européennes descendent de David. Ajoutons que le pasteur W.R. Morgan a publié "Saint Paul en Bretagne ou les origines du Christianisme britannique". Saint Paul, dans sa Lettre aux Romains (chapitre 15, verset 24 et 28) parle de voyages en Espagne. C'est de ce pays qu'il serait passé dans les Iles Britanniques. Le "National Message" cite trente quatre auteurs et titres d'ouvrages sur les ascendances israélites de la Grande-Bretagne (pages 2 et 61 à 63). Un autre pasteur protestant, Ithel, a édité les "Annales Cambrial" qui donnent la généalogie d'Owen ; et que deux autres auteurs, le Colonel Gawler et H.H. Pain's ont étudié la postérité de Dan. Enfin, Sharon Turner, dans son "Histoire des Anglo-Saxons" fait descendre Odin de Jupiter, qui ne serait autre que Juda. Jean Moncreiffe et Don Pottinger ont publié " Blood Royal " qui a eu plusieurs éditions depuis 1956. Enfin tout le puissant mouvement du "National Message" travaille depuis longtemps à convaincre le peuple anglais qu'il est l'héritier d'Israël, en publiant revues, brochures, etc. ».

6.3.2.6 Seuls les Rois de France descendent saliquement de la tribu de Juda

De l’ouvrage « Ascendances Davidique des Rois de France », pages 85 et 86 :

« Seule la Maison Royale de France, dans ses branches successives par ordre de primogéniture mâle est l'héritière du droit d'aînesse, par la ligne mâle, et cette Maison Royale a seule hérité validement et donc légalement du sceptre, car la Maison Royale d'Angleterre ne descend de la Maison d'Israël et de Juda que par les femmes, alors que la Maison Royale de France en descend par la primogéniture mâle. Ce que montre nettement le grand tableau généalogique du pasteur Milner allant de Juda jusqu'à la Reine Elisabeth Il. Mais il arrête cette ascendance salique mâle à Charlemagne parce que Hildegarde, la fille de l'Empereur, est l'ancêtre de l'actuelle Reine d'Angleterre.

En outre, la Maison Royale de France descend de David (donc de la Maison Royale de Juda tout comme la Maison d'Angleterre) uniquement par quatre Princesses de la Maison de David : Tea-Tephi qui épousa Heremon ; Anna, la cousine germaine de la Très Sainte Vierge Marie et la fille de Saint Joseph d'Arimathie par son mariage avec Beli Nouer, dont la fille Bennardim épousa le Roi Lear ; enfin Athildis qui épousa Marcomir IV.

La Bible annonçait que la Maison de David serait transplantée en Occident ; elle l'a été, en effet, et par droit d'aînesse salique dans la Maison Royale de France, et Dieu l'a prouvé par les événements. D'autre part, prétendre que le Roi d'Angleterre, ou la Reine, a hérité du droit religieux des Grands Prêtres parce que cette Grande Prêtrise était une charge héréditaire dans la Maison d'Aaron dont descend la Maison d'Angleterre est absolument faux parce que la Grande Prêtrise était héréditaire uniquement sur les mâles et jamais sur une tête féminine.

D'autre part cette Grande Prêtrise n'a jamais reposé sur la tête d'un Roi de Juda, ni d'un Roi d'Israël et les Rois de France ne l'ont jamais revendiquée. Le seul droit au sceptre religieux appartient, depuis Notre Seigneur Jésus-Christ au seul successeur de Pierre, car le Christ, Fils de Dieu et Dieu lui-même, a dit à Pierre, et par lui à ses successeurs : "Tu es Pierre, et sur cette Pierre Je bâtirai mon Eglise et les portes de l'enfer ne prévaudront pas. Tout ce que tu lieras sur la terre sera lié dans le ciel et tout ce que tu délieras sur la terre sera délié dans le ciel".

Par les événements et par ses miracles Dieu a prouvé que seuls les Rois de France sont les fils aînés de l'Eglise, et le Pape Grégoire IX, successeur légitime de Pierre, a bien précisé dans sa lettre à Saint Louis que "la tribu de Juda était la figure anticipée du Royaume de France" ».

6.3.2.7 Le Sacre réservé aux seuls Rois de France

De l’ouvrage « Ascendances Davidique des Rois de France », pages  86 à 90 :

« Rappelons l'allocution de Saint Rémi, inspiré, au Baptême et au Sacre de Clovis :

"Apprenez, mon fils, que le Royaume des Francs est prédestiné par Dieu à la défense de l'Eglise Romaine qui est la seule véritable Eglise du Christ Ce Royaume sera un jour grand entre tous les Royaumes et il embrassera toutes les limites de l'Empire Romain et il soumettra tous les peuples à son sceptre Il durera jusqu'à la fin des temps ! Il sera victorieux et prospère tant qu'il sera fidèle à la foi Romaine. Mais il sera rudement châtié toutes les fois où il sera infidèle à sa vocation". Et dans son Testament : "... Cette race royale... que j'ai choisie pour régner jusqu'à la fin des temps au sommet de la majesté royale ...".

L'Eglise avait institué pour les seuls rois de France la cérémonie du sacre qui faisait d'eux les représentants de Dieu dans l'ordre temporel et les chefs de tous les souverains. Elle les avait déclarés - ce qui historiquement était vrai - les fils aînés de l'Eglise.

La liturgie spéciale qu'elle avait instituée est très remarquable ainsi que les prières prescrites. Je cite : "Que le roi soit honoré plus que les rois des autres nations... Que les nations le comblent de louanges et célèbrent sa magnanimité". Et encore : "Qu'il soit le plus puissant des rois... que pour la suite des siècles, il naisse de lui des successeurs à son trône...".

Parlant du Roi de France, le Pape Saint Grégoire le Grand, qui régna de 590 à 604, va jusqu'à écrire : "Le Roi reçoit le Sacrement de l'onction. Parce qu'en effet l'onction est un sacrement". Et il ajoute "Que la tête du Roi soit donc ointe (1)". C'est ce que Dieu avait solennellement promis par serment à David et à ses successeurs.

Très justement, Monseigneur Delassus pouvait écrire : "Le sacre de la Sainte Ampoule donnait au Roi de France la prééminence sur tous les autres Rois, prééminence reconnue et acceptée ; il faisait du Roi salique le Roi très chrétien non seulement dans son royaume, mais sur toute la terre".

Les étrangers, eux-mêmes, reconnaissaient que le Roi de France était le premier des Souverains. Rappelons, notamment, le Décret de la République de Venise, daté de 1558 qui en donnait la raison : "Parce qu'il est sacré avec une huile venue du ciel". Bonifacius de Vitalis, juriste italien, écrit : "Quand on nomme le Roi simplement, on entend par excellence le Roi des Français". Balde, autre italien, reconnaît : "Ce Roi porte la couronne de gloire entre les Rois". Et l'anglais Mathieu Paris déclare : "Il est le Roi des Rois de la Terre". Dans les cérémonies diplomatiques, l'ambassadeur du Roi de France avait le pas sur ceux de tous les autres souverains, en hommage universel au Miracle de la Sainte Ampoule ».

Note :

(1) : « Saint Grégoire le Grand : Commentaire du Premier Livre des Rois, 18,5 ».

6.3.2.8 Représentation généalogique

De l’ouvrage « Ascendances Davidique des Rois de France », pages 137 à 141 :

  

 

De l'ouvrage « Le Grand Monarque », page 150  :

« [...] Le Royaume de Juda finit politiquement en 585 avant Jésus-Christ, et le sceptre ainsi que le droit d'aïnesse passèrent à une autre branche, celle des rois troyens, ancêtres directs par les Sicambres des rois de France.

Clovis, issu du Roi Mérovée, roi des Francs (vers 466-511), descend de la tribu de Juda, par son aïeul le roi Marcomir IV, qui épousa en l'an 129 Athildis, fille de Coel, qui était apparantée à Jésus de Nazareth et à la Vierge Marie par son ancêtre Joseph d'Arimathie, qui descendait lui-même des deux branches du roi David et aussi de la branche des Grands Prêtres, dont Aaron, le frère de Moïse.

La branche carolingienne descend de la tribu de Juda par Clodomir (337). Deux rois carolingiens célèbres furent Charles Martel (689-741) et le roi Charlemagne (742-814).

La branche capétienne descend de la tribu de Juda et du Roi David par Childebrand (753), Hugues Capet, roi de France (987-996), donna son nom à la branche capétienne ».

6.3.2.9 Notre Seigneur Jésus à Jnsr

Du 4 ième fascicule des « Messages depuis le Secret de Marie » :

- extrait du message « Pour mon Eglise et pour la France » donné le 4 juin 2005 (Sainte Clothilde), pages 32 et 33 :

« […] L'histoire de la France s'inscrit en lettres d'or dans l'histoire du Maître de l'Histoire. Elle a été choisie par Jésus-Christ pour montrer à chaque nation ce que Jésus attend d'elle […]. Je lui ai donné Ma Sainte Mère, la Bienheureuse Vierge Marie, pour Sainte Patronne. Tous les rois sont chrétiens, nés de la Descendance de David comme Moi-même de par Mon Père Nourricier Saint Joseph ».

De l’ouvrage « Humanité déchirée, la Vierge Immaculée vient t’enfanter dans Sa Parfaite Pureté et l’homme sera glorifié » :

- extrait du message du 28 avril 2001, pages 85, 87 et 88 :

« Sainte Jeanne d'Arc : […] Le destin de la France s'inscrivait en mon coeur vierge de toute interprétation et de toute décision humaines. Seule la Volonté du Très-Haut me guidait. Le pouvoir royal de David, Pouvoir divin, devait se poursuivre en ce roi de France [Charles VII à cette époque].

Notre Seigneur Jésus : […] Jeanne a sauvé la France de son déshonneur, direz-vous ? Certes il y eut ce rétablissement. Mais Jeanne avait une Mission divine, celle de redonner l’Oint de Dieu à la France, le successeur du roi David, de la même lignée de Jésus-Christ, Lui le premier Oint de Dieu.

Ce roi, Charles VII que Jeanne a conduit jusqu’au Sacre, s’est assis sur le Trône de David, et qui revenait déjà au Roi des rois, votre Seigneur Jésus-Christ

J’ai donné à la France Mon Sacré Cœur.

Le dernier roi, Oint de Dieu, dans ses derniers instants, à genoux dans sa cellule, a consacré la France à Mon Divin Sacré Cœur. Elle est la Fille Aînée de l’Eglise qui a connu sa splendeur à Reims qui fut le siège d’un évêché dès l’an 290. Le roi Clovis y fut baptisé en 496 et les rois de France y furent sacrés : ce sont tous les Oints de Dieu […].

Mon Royaume a un roi. Je suis Roi. Ceux qui M’ont succédé sur Ma Terre sont, comme Moi, les Oints de Dieu : ils sont oints. Le Trône de David M’a été préparé. Les rois de France ont eu le privilège d’y prendre place, car Ma Sainte Grâce a fait d’eux des Oints du Seigneur. Et Dieu ne meurt pas, Mes vivants du Ciel sont tous en Moi, comme Moi en eux ».

De l’ouvrage « Et voici…le Secret de Marie » :

- extrait du message « Saint Louis » donné le 7 août 2002, page 70 :

« Je veux la France ! Je veux la recouvrir de Mon Amour Miséricordieux. Je veux lui donner un Sang royal et saint. Le trône de France ne peut appartenir qu’aux descendants de David. L’un d’eux l’occupera bientôt ».