Notre Seigneur Jésus chasse les démons

 

Notre-Seigneur Jésus à Filiola

De l'ouvrage « Chemin de lumière » :

- extrait du message du 23 mars 1973, page 206 :

« Filiola : "O Jésus, Tu veux parler aux âmes de bonne volonté" ?

Notre-Seigneur Jésus : "Oui, ma fille. Je donnerai aux âmes tout ce qui leur manque...Je donnerai tout Moi-Même...Celui qui M'écoute sera sauvé".

Filiola : "Mon Jésus, et celui qui ne T'écoute pas ?..."

Notre-Seigneur Jésus : "Ma petite fille, mon Amour suit l'âme jusqu'à la porte de l'Enfer, pour la sauver de ce gouffre de haine et de feu" ».

 

Mélanie Calvat (Soeur Marie de la Croix), bergère de la Salette

De Journal de l'Abbé Combe « Dernières années de Soeur Marie de la Croix, bergère de la Salette » :

- extrait de la page 126 :

L'Abbé Combe : « Si elle [Mélanie Calvat] m'a consolé dans ma crainte de n'être pas en état de grâce et d'arriver à me damner. Je me croyais abandonné pour avoir trop abusé des grâces. Elle est venue me voir et m'a dit avec grande joie : "Notre Seigneur, à qui j'ai parlé des craintes de votre Paternité, m'a répondu, en me montrant votre âme : "Il a fait quelques péchés, pas bien volontaires, et beaucoup de bonnes actions bien volontaires".

"(Dissimulant ma joie) Je vous remercie de beaucoup prier pour moi, je n'en crains pas moins de me perdre au dernier moment" ».

Soeur Marie de la Croix : « Comment cela, mon cher Père ? ».

L'Abbé Combe : « Toujours par ces maudites tentations contre la foi. J'ai vu des mourants ébranlés par ces tentations, qu'ils n'avaient pas eues pendant leur vie. Combien plus facilement j'y succomberais ! Rien que d'y penser je tremble, tant je me sens faible de ce côté ».

Soeur Marie de la Croix : « Personne n'est damné qui ne veut pas l'être ».

 

Notre-Seigneur Jésus à Giuliana Buttini

De l'ouvrage « La Parole - Volume 2 » :

- extrait du message du 26 juin 1977, page 106 :

« Je ne suis pas venu pour ceux qui sont en bonne santé, mais pour la rendre aux malades.

Et les morts ? Dans le temps du non-temps notre Père qui est aux Cieux et règne, et moi son Fils, qui règne avec Lui, assis à Sa droite, nous savions déjà qui allait mourir spirituellement. Ces morts se sont perdus par leur propre volonté.

Nous ne voulions pas cela. Eux l'ont voulu ; ils ont voulu mourir !

La seule vraie mort est celle de l'âme : seule chose que la créature possède, car tout le reste ne vous appartient pas. Nous pouvons disposer de votre vie, vous disposez de votre âme dont vous devez toujours prendre soin tout au long du temps qui vous est donné ».

 

Notre-Seigneur Jésus à Soeur Consolata Betrone

De l'ouvrage « Jésus parle au monde » :

- extrait de la page 192 :

« A propos de l’enfer, Jésus se fait insistant : “Ne va en Enfer que celui qui veut y aller.

Futile est votre crainte de vous damner : n’ai-je pas versé mon sang pour vous sauver ?...

C’est au Paradis et non à l’Enfer que je vous ai voués en vous créant, à la jouissance d’un éternel amour et non à la compagnie infernale des démons...

L’impénitence finale ne se rencontre que chez les personnes qui veulent aller en Enfer, de propos délibéré, et par conséquent refusent ma Miséricorde ; car, pour ce qui est de Moi, jamais Je ne refuse mon pardon : ma Miséricorde illimitée embrasse l’univers entier, car pour tous J’ai versé mon sang...

La multitude des péchés ne damnera pas une âme, puisque mon pardon prévient son repentir, mais bien l’obstination à refuser mon pardon et à vouloir se damner...

Confiance et confiance en moi, Consolata, crois aveuglément à l’accomplissement de mes promesses, car je ne mesure ni ma bonté, ni ma miséricorde, et Je ne veux pas la mort du pécheur, mais son retour à la vie”.

Mais pour sauver le monde, Jésus a besoin que des âmes généreuses l’aident : “Je veux des victimes, Consolata...” des victimes de mon Amour et de ma Miséricorde ».