De l'ouvrage « Témoignage de Dieu à Ses petites âmes - 2° partie », pages 278 et 279 :
« Lorsque Jésus nous demande de nous préparer à une nouvelle naissance, ce n’est pas seulement pour l’homme qui lui, doit renaître dans l’esprit. Dieu demande également la renaissance de la Terre et celle de la façon de vivre dans cette Nouvelle Terre.
En ces jours, nous ne sommes pas encore préparés à voir tout ce changement qui doit s’effectuer en commençant par l’homme qui doit comprendre. Mais dès que l’homme comprendra, tout s’activera car nous sommes déjà entrés dans ce changement. Et l’homme, au lieu de réfléchir sur comment aider Dieu à tout transformer, (le Seigneur nous demandera toujours notre participation active) s’oppose, en persistant à garder ses habitudes.
L’Homme se doit d’aider le Seigneur, déjà par son humilité, à reconnaître la Bonté de Dieu qui vient nous aider en ce que nous devons faire, pour continuer à vivre, dans une situation Nouvelle, car le changement est nécessaire et primordial pour toutes les créatures de Notre Père Bien-Aimé. Pour cela, Dieu doit transformer toute la Création qui est arrivée par la paresse et la nonchalance de l’homme, à se détériorer et même à se détruire.
Avant cette phase finale qui serait la fin de Toute Vie, de tout espoir, nous devons tous aider le Seigneur à renouveler, en premier, la Nature de l’Homme (à renaître de l’Esprit) et la Terre, (en Nouvelle Terre) afin qu’elle prenne sa nouvelle forme, appropriée à l’Homme Nouveau qui sera plus spirituel que charnel, plus intellect que rationnel.
Nous devons comprendre que le Temps du Capitalisme comme celui du Communisme, est révolu. L’un comme l’autre n’engagent que le Pouvoir et la Production à se développer alors que la Consommation se meurt. Le Pouvoir devient une bête affamée qui, laissée en liberté, va pousser les hommes à se tuer pour voler. Si on le laisse longtemps en vie, il conduit tous les Peuples à se manger entre eux; alors, massacres partout, révolutions en série.
Voilà où vous conduisent vos chefs, aveuglés par le pouvoir ».