La Vierge des Douleurs à l'Escorial en Espagne : Ce n'est pas Dieu qui condamne les âmes pour l'éternité, elles se condamnent elles-mêmes de leur propre gré

De l'ouvrage « Escorial - Messages 1980 - 1984 » :

- extrait du message du 19 mai 1984, pages 302 et 303 :

La Vierge des Douleurs : « Ma fille, malgré Mes manifestations, les hommes continuent de se moquer. Je ne veux pas dire qu'il s'agit d'hommes, parce qu'on parle des humains, hommes ou femmes, c'est la même chose. Ils se moquent, ils se moquent de Mon existence, Ma fille. Prie pour ces âmes. Tu sais de qui il s'agit. Quand tu quitteras ce lieu, jette leur un regard et leurs coeurs seront contris et repentis ».

Luz Amparo : « S'ils se moquent...! Tant pis pour eux ! ».

La Vierge des Douleurs : « Ne dis pas cela, Ma fille. Prie et fais des sacrifices pour eux. Ils se disent fils de Dieu, mais ce ne sont pas de bons enfants de Dieu. Aujourd'hui tu vas tout endurer, Ma fille, tout, y compris le calice de douleur. Et tu vas en boire une goutte seulement ».

Luz Amparo : « Ah, Ah...! Ah, ah, ah, ah, que c'est amer ! Ah ! ... ».

La Vierge des Douleurs : « Est-ce amer, Ma fille ? Toi pense à l'amertume que ressent Mon Coeur lorsque des millions et des millions d'âmes se précipitent dans le fond de l'âbime. Tu vas assister à une scène, Ma fille ».

Luz Amparo : « Aïe ! Ca c'est horrible ! Ah ! Ce n'est pas possible, Dieu ne peut pas faire cela ! Ce n'est pas possible, non ! Ah ! Ne peuvent-ils plus sortir de là ? Ah ! Que non... ! ».

La Vierge des Douleurs : « Pour toujours, pour toujours, Ma fille. Pour toute l'éternité ! Et ce n'est pas Dieu (qui les condamne) ; ils se condamnent eux-mêmes, de leur propre gré ».

 

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