Message reçu par la Fille du Oui à Jésus le 25 avril 2016 au Frankenbourg

 

 

 


Jésus : Mes enfants, à chaque instant, moi qui suis l'Amour, je me donne à vous, donnez-vous, mes enfants, de l’amour et vous récolterez les fruits de votre amour. C’est à chaque moment de votre vie que vous devez me présenter, par vos actes de vie, ce que j’ai déposé en vous : mon amour inconditionnel. Ce que j’ai fait connaître à mon instrument, va-vous apporter des grâces.

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Nous montions le mont Frankenbourg en récitant notre chapelet ; comme la montée devenait difficile à cause de l’altitude et le froid, j'ai demandé de l'aide à Maman Marie. J'ai ressenti la grâce par un bien-être en moi. Je savais qu'elle me donnait ce dont j'avais besoin pour avancer vers le lieu où le roi Clovis avait accepté de recevoir le baptême. Nous nous sommes arrêtés à l'endroit où on avait fait des fouilles. Les personnes qui ont participé à ses fouilles ont conclu que ces pierres montraient qu'il y avait probablement eu à cet endroit un mur. Nous étions rendus à la cinquième dizaine de chapelet lorsque c'est le Saint-Esprit qui me dicta les mots pour le premier « Je vous salue Marie » ; par la suite, nous avons continué à réciter les suivants comme on nous les avait appris. La voix de notre Maman du Ciel se fit entendre en moi : « Dis à mes enfants de prier pour ces enfants païens afin que tous ceux qui n'ont pas reçu leur baptême se laissent toucher par mon Fils. Qu’ils me présentent les conséquences des mauvais actes de vie de ces enfants païens dus à leur manque de foi envers Dieu. Tous ces païens qui jadis se faisaient la guerre entre eux, au nom de leur liberté, ont apporté à vous, mes enfants, de grandes souffrances. Beaucoup vivent en ne pensant pas à leur vie éternelle, ils vivent leur liberté sans réaliser qu'ils font souffrir leur âme. Autrefois, les païens vivaient dans une fausse liberté leur donnant le droit de tuer leur prochain.
Ma fille, dis à mes enfants que ce pouvoir de guerre ne venait pas d’eux, mais de Satan qui les manipulait. Mon enfant, lorsque des païens s'affrontent aucun d'eux ne gagnent, c'est Satan le seul gagnant. Ces pauvres païens n’avaient pas compris que seul Dieu pouvait leur redonner leur vraie liberté. Dieu n'enlève pas la vie, il enlève le mal qui les tient prisonniers. Aucune guerre voulue par l’Eternel a pour but de tuer ses enfants, c'est le mal qui est combattu afin que chaque enfant sache que Dieu le Fils, sous le regard de Dieu son Père, est plus puissant que le mal. Voilà pourquoi Clovis devait être baptisé pour que tous les enfants créés soient sous la victoire du Christ Roi sur le Mal qui est Satan ».

Devant la dernière montée qui les mène au château, la Fille du Oui à Jésus vit des personnes qui montaient ce chemin étroit ; le nombre de ces personnes était très grand, et en avant d’eux il y avait une lumière. L’instrument perçu que l’immaculée Conception était dans la lumière. Cette lumière était la Lumière de son Fils Jésus. Sa lumière en la Lumière se laissait échapper sur tous ceux qui marchaient derrière elle. Soudain l’instrument entendit : « En avant tous ! ». C'est Clovis qui se fit entendre en elle, par la Volonté de Dieu.
Arrivée en haut, la Fille du Oui à Jésus parla au roi Clovis. Elle lui demanda :

« Roi Clovis, mon frère, prie pour nous qui sommes toujours en guerre avec le mal. Bientôt nous entrerons en nous et nous aurons à combattre contre ce que nous avons laissé entrer en nous. Ce sont les poisons de ces démons qui nous feront la guerre ; nous sommes devenus comme ces pierres : des êtres vides de foi ».
Clovis lui dit : « Il ne faut pas s'attacher à ces pierres, elles sont sans vie, car elles représentent ce que les enfants de Dieu sont lorsque leur baptême ne les couvre pas, ils s'attachent à ce qu'ils connaissent et ils croient que cela va les amener à connaître le bonheur. Sans le baptême, ils sont sans la protection de Dieu, ils sont comme ces pierres qui n'ont aucune valeur. Ils montent cette montagne pour ces pierres, non pour rendre grâces à Dieu d'avoir mis en moi, le roi de France, le désir du baptême. Ceux qui avancent vers ce lieu doivent écouter la Mère de Dieu qui a demandé à chacun : "Faites pénitence, regrettez vos fautes, faites des actes de réparation au nom de tous ceux qui n'ont pas profité des grâces du baptême" ».

Clovis continue : « Avancez et entrez, en demeurant humbles, car le Roi du Ciel m'avait choisi pour être le premier roi de France qui devait régner en enfants de Dieu avec ses sujets sur la terre sous son Regard divin. Mon baptême a donné à Dieu ce qui appartenait à Dieu : la France. Ma royauté s'est inclinée devant la force de Dieu et la puissance de Dieu combattit pour moi le mal. Dieu me montrait que je venais d'être choisi pour être le premier roi chrétien, celui qui devait porter la couronne au nom de Dieu, puisque la victoire sur le mal n'en revient qu'à Dieu. Il vient le jour où le dernier roi de France déposera la couronne des rois de France au pied du Roi, notre Seigneur Jésus Christ, notre Dieu, et tous les rois de la terre déposeront leur couronne en ma couronne et ma couronne, symbole d'appartenance à la couronne d'épines du Sauveur du monde, vous donnera la force de continuer à combattre les assauts du mal lors de ce jour de triple cadence.
Tous les enfants de Dieu baptisés doivent savoir que le Royaume de Dieu est sur la terre et qu'il n'y a qu'un seul règne : celui de Dieu. Au nom du Roi des rois, moi Clovis, je vous demande de faire pénitences et réparations au nom de tous les rois pour avoir manqué d'honneur et dévotion à Dieu, devant tous les sujets du Royaume de Dieu sur la terre. Que toute l'église soit loyale aux représentants du Fils de Dieu : le Pape et ses prêtres, car le Royaume de Dieu sur la terre est en le Christ, notre Roi, qui a installé sa Royauté dans notre cœur ».
La voix du roi Clovis devint ferme : « Cœur de Jésus, nous avons confiance en vous. En avant tous. Vivons en enfants de la Lumière, car jadis nous, le roi de France et mes soldats, les enfants dans la noirceur, nous nous sommes dépouillés de tout ce qui était sans vie et par notre désir d'être des baptisés, nous nous sommes revêtus du vêtement de la Vie Éternelle. Que Dieu nous bénisse tous et vivons sur la terre et dans le Ciel éternellement pour la gloire de Dieu le Père, pour notre Roi, le fils de Dieu et pour le Saint Esprit, notre Dieu ».

Réjouissons-nous de vivre cet instant. Dieu combat pour nous le Mal. Merci Dieu.