Enseignement de la Fille du Oui à Jésus sur les âmes errantes et l'avortement

Source : http://lafilleduouiajesus.org/nantes_2soir14mars09NEW.htm

 

            Rencontre d’amour avec l’agir de Dieu à Nantes, France,

par son instrument, la Fille du Oui à Jésus

 

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2009-03-14 – Soir  Partie 2      

La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Est-ce que vous voulez continuer avec des questions et des réponses ? Alors, est-ce qu’il y en a qui veulent commencer ? Oui ?

Q. ..... de la chair parfaite errent tous ces enfants avortés, tous les petits, tout ce sang, c’est la…?

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Nous venons de la Chair Parfaite. Alors, tous ces enfants, ces petits enfants avortés, quelle est donc leur place ? Nous venons de la Chair Parfaite, alors ces enfants sont de la Chair Parfaite ; eux ont été créés par amour pour chacun de nous. Ils devaient venir parmi nous pour nous donner de l’amour, ils devaient accomplir l’œuvre de Dieu. Nous sommes tous l’œuvre de Dieu.

Nous sommes créés par amour et, par amour, nous devons donner ce que nous sommes, tels le Père et le Fils qui se donnent de l’amour, un amour sans cesse et sans cesse si puissant que ça fait la troisième personne : le Saint-Esprit. Chacun de nous nous sommes de l’amour. Nous devons nous donner de l’amour sans cesse et sans cesse pour ne former qu’un seul enfant. Ces enfants, ce sont des enfants d’amour pour nous. Si ce monde n’a pas mérité ces enfants, c’est que ce monde vit la conséquence de son manque d’amour et ces enfants sont de Dieu et ils vont vers Dieu. Aucun enfant qui vient au monde et qui demeure amour ne demeure pas sans retourner vers Dieu.

L’avortement est l’œuvre de Satan. Nous, nous devons, nous devons aimer inconditionnellement les enfants; nous devons aimer inconditionnellement la mère, le père, le médecin, les garde-malades, les personnes qui l’entourent : tous les enfants de Dieu, ainsi Satan va être dans son piège. Nous refuserons de nous maintenir dans cette souffrance. Nous donnerons à Jésus ces esprits impurs, car nous le remercierons de les envoyer au pied de la Croix. Il y aura des guérisons et la Mère de Dieu nous donnera des grâces afin que nous puissions persévérer jusqu’au moment où il n’y aura plus d’enfants qui s’avorteront. Nous vivons un temps, un temps où tout nous est montré. Priez pour ces mamans, pour ces papas, pour ces médecins, ces gardes-malades, pour tous ceux qui entourent : priez. La prière apporte des grâces. Ces petits enfants ont la tache originelle. Alors, êtes-vous des baptisés ? Êtes-vous prêtres ? Alors servez-vous de ce que Dieu vous a donné. Baptisez : le baptême du désir.

Je vais vous raconter ce qui s’est déjà passé. Il y a..., en 2005 Nicole que le Père Galbert était venu faire une messe des ancêtres chez moi ? 2005, 2006 ? En 2004 ? O.K. On m’avait parlé d’une messe des ancêtres ; alors j’ai réuni mes sœurs chez moi et nous avons, grâce au Père Galbert, fait une messe des ancêtres. À la fin de la messe, ce prêtre a vu un être qui était tout en noir dans la porte où j’étais, la porte de ma chambre. Il a dit : "Il n’appartient pas à votre famille". Alors, je ne savais pas quoi faire ; on donne ça au Seigneur : cause, choix et conséquence. Durant la nuit, le Seigneur m’a réveillée et il m’a dit : « Abandonne-toi, ma fille, fais ce que je te dis ». J’ai dit : "Oui, Seigneur". « Lève-toi ». Alors, je me suis levée, j’ai été m’asseoir dans mon salon et là il a dit : « Je veux que tu t’abandonnes, je veux que tu te donnes ». J’ai dit : "Oui, Seigneur". Il dit : « Ferme les yeux ». Alors j’ai fermé les yeux et là, j’ai vu, j’ai vu Jésus. Je le suivais par en arrière, Jésus marchait en avant de moi et je le suivais. Et, à un moment donné, il a dit : « Ma fille, continue » et lui s’est arrêté. Alors, j’ai continué par obéissance. Il me disait de continuer et je continuai, et là tout était noir. C’est comme si je voyais dans le noir ce qui était, et là j’ai vu, j’ai vu qu’il y avait des êtres, des personnes, qui étaient comme tout petits ; tu sais, comme lorsqu’on est dans le fœtus là, mais ils étaient comme dans des trous là, dans le noir. Tout était noir et il y avait de ces personnes et il y en avait beaucoup.

Là, comme j’approchais, ils ont dû sentir, je sentais leur peur. Alors, j’ai dit : "N’ayez pas peur, je suis une pécheresse comme vous, n’ayez pas peur". Là, j’ai senti qu’ils ne me craignaient pas ; alors j’ai avancé, j'ai continué à avancer et là il y avait toujours cette peur qu’ils avaient ; j’ai dit : "Jésus est bon, Jésus est plein de miséricorde, il faut aller vers Jésus" et j’ai continué à avancer et là je sentais qu’il y avait comme quelque chose qui s’apaisait : "Il faut aller vers Jésus. Venez, on va aller ensemble vers Jésus", et là Jésus dit tout doucement : « Ouvre-leur ton bras, étends ton bras ». Alors j’ai fait ce qu’il m’a dit et là quelque chose s’agrippait après mon bras, mais c’était beaucoup beaucoup beaucoup, c’étaient eux. Alors j’avançais, je reculais comme ça, tout doucement, et là je voulais avancer comme marcher, bien, avancer, reculer, et lorsque je sentais qu’il y en avait qui se détachaient, j’arrêtais : "Il ne faut pas avoir peur, il faut aller vers Jésus", et là je sentais qu’ils s’agrippaient encore et nous avons avancé. À un moment donné ils ont vu, ils ont vu la Lumière, et là plusieurs se sont comme détachés et là j’ai arrêté. "Jésus, c’est la Lumière, il faut aller vers Jésus. Il est la Lumière, il est doux, venez". Et là, ils se sont comme encore agrippés et nous sommes arrivés, et là ils sont partis, ils sont partis vers la Lumière. J’ai regardé et ils m'ont dit merci et ils ont été à leur jugement, c’étaient des âmes errantes.

Au tout début, lorsqu’on m’avait parlé d’âmes errantes, je ne croyais pas à ça. J’avais jamais entendu parler d’âmes errantes. Eh bien, je l’ai vécu : il y a des âmes errantes. Quelques années, en 2008, j’ai vécu encore quelque chose. L’une de mes sœurs me disait souvent : "Demande au Père Clément de prier, parce qu’il y a des bruits chez-nous, ça m’empêche de dormir et ça fait tellement d’années que ça dure, j’ai peur, quelquefois, je sens que mon lit bouge. Elle était souvent dépressive et elle remontait avec la prière et pourtant, cette déprime restait avec elle. Il est arrivé que l’un de mes frères a été se faire opérer aux yeux et il ne devait pas se coucher, mais être sur un lazy-boy là. Vous connaissez ce que c’est ? C’est un fauteuil qui peut s’incliner. Alors elle lui a offert de venir : "Viens, j’ai quelque chose : le fauteuil; tu pourras dormir ; il ne fallait pas qu’il soit tout seul.

Mais il s’est passé quelque chose. C’est que durant la nuit, il s’est fait réveiller par un bruit, ça marchait à côté de lui, comme le plancher qui craque. Alors, lui, avec son bandeau, il a tout simplement ouvert ; il a vu quelqu’un qui se tenait debout à côté. Il a ouvert encore son bandeau, puis il l’a regardé, après ça il a refermé son bandeau, puis il dit : "Ça doit être bébé". C’est parce que mon beau-frère, on l’appelait bébé, mais il s’appelait Armand, mais c’était le bébé de la famille, il était décédé. Alors lui, il dit : "Bon, il vient me voir", c’est pas plus que ça, il a baissé son bandeau. Le lendemain, il a raconté ça à ma sœur. Alors elle, elle allait voir son fils et elle conte ça à l’un de ses fils. Alors, lui, dit : "Maman, c’est pas papa ; il dit : ce sont encore eux". Alors elle : "Pourquoi tu dis ça ?" Il dit : "Maman, je l’ai jamais dit. J’avais tellement peur, je pensais qu’on n'était pas pour me croire. Lorsque j’étais jeune, dans la chambre du fond, maman, je les voyais passer ; ils partaient de la cuisine puis ils rentraient dans la salle de bain, et moi je me cachais en dessous de mes couvertures, je ne voulais pas les voir. Ils sont là, c’est encore les mêmes".

Alors, elle vient à la maison et elle me raconte tout cela. J’ai dit : "On va appeler Nicole pour demander au Père Galbert ce qu’il en est". Pendant ce temps, nous avons été prié devant la Croix et, dans la prière, Jésus, là, ça venait : « présence, Indiens ». Lorsqu’on priait, il y avait des choses qui ressortaient : 'peur'. Encore, on priait, on disait le rosaire : 'suicide'. Alors, on comprenait que les gens de la place vivaient des grosses souffrances : 'infidélité conjugale'. Tout ça semblait être relié à ça. Alors, ma sœur ne voulait pas aller coucher chez elle, hein ? Alors, je lui ai dit : "Moi je vais aller coucher chez toi". Elle a été surprise, mais elle a dit : "Bien, si tu y vas, je vais y aller". Mon autre sœur, elle dit : "Bien, moi aussi je vais y aller". J’ai dit : "C’est bien". J’ai su que le Père Galbert avait accepté de venir dire une messe pour les âmes errantes. Alors j’ai dit à l’une de mes sœurs, à ma sœur : "Moi, je vais aller coucher dans la chambre du fond".

Je ne me suis pas couchée à la tête, mais au pied pour voir bien le passage, et là on s’est endormi. Mais je me suis fait réveiller par un cri, mais pas un cri normal ; ce cri était un cri de douleur et c’était tellement fort que je me suis réveillée et ce cri ! Alors je me suis levée et j’ai été voir ma sœur, elle dormait, mais ferme, là ! Et j’ai été voir mon autre sœur dans le salon et elle aussi dormait. Alors, je suis retournée dans la chambre et là je priais. À un moment donné, ça marche en arrière de ma tête, je le sens. Ils sont là, et ça marchait. Alors j’ai dit : "Au nom de Jésus, qui êtes-vous ?" Ils ont dit : 'Nous sommes des Indiens méchants'. J’ai dit : "Si vous êtes des âmes, qu’est-ce que vous faites ?" Ils n’ont rien dit, mais je sentais beaucoup de choses, c’était au-dessus de ma tête.

Le lendemain, Père Galbert est arrivé et nous avons commencé. Il a demandé à une personne de lire ; il y a des moments où il faut lire et offrir, et c’était moi qui... j’ai dit : "Moi", j’ai dit, "qui va le faire". Il fallait que ce soit moi. C’était plus fort que moi. Je voyais bien que ça venait de Dieu, pas de moi. Et là, ah oui, il faut que je vous dise quelque chose, parce qu'avant d’aller chez ma sœur, Jésus, durant la prière, il avait dit : « Pleine lune ». J'ai dit : "pleine lune", mais je ne savais pas, je ne savais pas pour quel rapport. Alors, j’ai été voir sur le calendrier, mais je n’ai pas de calendrier qui montre la lune, là, alors j’ai essayé de trouver un calendrier : rien à faire, mais là j’ai dit, on va regarder dehors. Eh oui, il y avait la lune. C’était dans les alentours du treize, quatorze du mois. Alors là, on est partis avec ça, avec toutes ces choses-là.

Lorsque durant la messe – là il y eut beaucoup de pardons et de pardons, on demande pardon pour ces âmes errantes-là – là nous avons su que c’étaient des Indiens et qu’ils avaient fait des sacrifices, et non seulement ça, ils ont dit à travers moi, c’est comme si eux ils pouvaient...  – je disais ce qu’il y avait à l’intérieur de moi – ils avaient mis pour éclairer, cette nuit-là, ils attachaient des enfants, des personnes et ils mettaient le feu; ils étaient comme des torches, et ils faisaient ce qu’ils faisaient. Alors, comprenez-vous que ces âmes, il y avait des âmes errantes et Jésus a dit : « Que ces âmes n’ont pas été vers leur jugement de vie. Ce sont des âmes qui n’ont pas été vers leur jugement. Personne n’a prié pour eux, personne n’a prié pour eux. On ne pense plus à eux, ils n’ont personne pour les aider ». Voilà pourquoi Jésus m’avait demandé d’aller vers eux et Jésus il a dit : « Vous ne passerez pas votre purification de la chair sans aider ces âmes ». Alors, nous devons prier pour ces âmes errantes afin qu’ils aillent vers leur jugement.

Pensez qu’en France il y en a eu des âmes errantes, des personnes qui sont mortes sans connaître qui est Dieu, sans avoir aucune personne pour prier pour eux, c’est plein ! Alors, notre devoir est de prier pour eux. Lorsque, après un certain temps, savez-vous que ma sœur il n’y a plus de bruit chez eux ? Elle est dans sa paix, elle n’a plus de dépression. C’est important ! Les esprits impurs se servent de leurs maladresses parce qu’ils veulent attirer notre attention. Ils ne savent pas pourquoi, ils ne savent pas pourquoi qu’ils sont encore en train de traîner quelque part ; alors eux autres ils sont là, puis ils essayent d’attirer notre attention : 'Je suis là', mais ils ne savent pas pourquoi. Mais les esprits impurs se servent d’eux pour nous faire peur.

Q.  Quand on meurt, chacun rencontre Dieu. On a un jugement particulier à un moment donné ?

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Il le faut et c’est pour ça qu'il faut qu’ils y aillent. Moi aussi j’y ai pensé (échange avec une personne)… ne vont pas, notre liberté, …ils ne peuvent pas.

Q.  Les gens qui ne croient pas en Dieu alors, ils ne vont pas vers leur jugement ?

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Les âmes qui ne croient pas en Dieu, croient qu’il y a un Dieu, croient qu’il y a des dieux, croient qu’il y a quelque chose.

Q.  Est-ce que je peux donner l’exemple de quelque chose qui m’est arrivé ?

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Mais oui, nous sommes tous ensemble. Vous voulez parler fort ? Paul, tu peux lui donner..., merci.

Q.  Lorsque mon oncle qui m’a élevée est décédé, il était totalement incroyant et je suis restée quelques années sans aller dans la petite maison de vacance que nous avions. Quelques années plus tard j’y suis allée et j’ai ouvert la porte et j’ai entendu : 'Douchka'. C’était le prénom qu’il me donnait dans des moments où on s’entendait bien. Or, j’ai dit, je savais qu'il me donnait ce prénom, je lui ai dit : "Ben, Daniel, tiens, tu es là ?" Moi j’étais toute contente, je venais de découvrir Dieu, Jésus, Marie. J’ai dit : "Ah, tiens, tu es là, c’est formidable, tu m’accueilles", puis j’ai senti un silence à couper le couteau. C’est un silence très très... c’est à chaque fois pareil, et il m’a dit : 'Mais je suis mort'. Je lui ai dit : "Mais bien sûr que tu es mort, je sais bien, mais tu vois bien que tu es vivant encore". Alors, il y a encore eu ce silence, je lui ai dit : "C’est pas vrai, tu es encore là, tu n’es pas monté". Et j’ai pris mon chapelet et j’ai prié, et le Seigneur m’a demandé de réciter pendant un an, chaque jour. J’étais au début de ma conversion, c’était un gros effort, le portement de Croix pour lui pendant un an très exactement, et le Seigneur m’a fait savoir aussi que, il avait été dans l’antichambre de l’enfer et c’est uniquement parce qu’il était aussi mon parrain et que moi je faisais un chemin de conversion et que je priais pour lui qu’il a été sauvé, et il est maintenant au Ciel. J’ai l’ai su par une dame qui reçoit ces choses-là.

Et est-ce que je peux encore donner une autre information ? Un jour, le Seigneur m’a montré l’océan. Il y avait un poulpe dans l’océan et ce poulpe, le Seigneur m'a dit : « Tu vois, il a peur, il va émettre un jet d’encre ». Il a émis un jet d’encre et l’eau autour s’est troublée, et puis un autre danger est venu ; il y a eu encore un jet d’encre, et puis plein de jets d’encre, et l’eau autour est devenue toute noire et le Seigneur a dit : « Quand quelqu’un émet un..., quand il ne croit pas en Dieu, il se laisse piéger, il devient comme ça tout enveloppé d’une espèce de noirceur, quelque chose de noir qui est embrouillé, et à ce moment-là la seule lumière qu’il peut voir c’est la lumière des gens qui prient. Il ne peut pas voir l’Église, les anges ni d’ailleurs les démons. Ils peuvent se laisser manipuler par leurs peurs, parce qu’avec leurs peurs ils…les démons, mais ils ne peuvent pas, ils sont là quoi, ils sont là, ils attendent du secours. Alors, il faut prier et surtout leur parler. Il y a quelque chose qui est fort pour eux, c’est le prologue de l’Évangile de Saint-Jean…et puis peu à peu il faut les évangéliser, il faut leur expliquer ce qui leur arrive, il faut leur parler de Jésus, leur parler de Marie et puis après, ils montent.

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ce que Dieu attend de chacun de nous, c’est de nous maintenir dans sa Gloire afin que nous puissions comprendre que tout ce qui est en notre chair doit être purifié. Le mal à l’intérieur de nous doit être arraché de nous par Jésus. Rien ne viendra de la volonté humaine.

Chaque enfant qui a été créé fait partie de notre chair, chaque enfant. L’esprit du mal a fait connaître aux enfants l’erreur, le mensonge, la jalousie, tous les vices, car il est la haine incarnée. Il se sert du mal qu’il a mis en nous et il s’en nourrit. Nous ne devons pas avoir peur de cela ; en gardant notre paix, notre joie, notre amour, le mal perd de la force et nous pouvons, par la puissance du Saint-Esprit, regarder qui nous sommes, être convaincus que Dieu a déjà accompli tout pour nous. Chaque chair sera purifiée, chaque chair.

Les âmes sont à Dieu. Les âmes ne peuvent être détruites, elles ont toutes un lieu. Lorsqu’elles sont dans le temple qui est la chair, ces âmes sont devant Dieu, ces âmes sont à Dieu. Lorsque la chair est dans son achèvement sur la terre ou lorsque la chair est interrompue au cours de son œuvre sur la terre, la chair connaît un repos. Toute chair entre dans un repos. L’âme est la vie, est la lumière de Dieu, et l’âme nourrit la chair. Lorsqu’il n’y a pas de nourriture, c’est parce que l’enfant refuse la nourriture. L’enfant est incapable de nourrir l’âme, c’est Dieu qui nourrit l’âme, mais l’enfant doit accepter l’amour. Lorsqu’un enfant n’est pas amour, lorsqu'un enfant ne se sait pas amour, qu’il est nourrit par la peur, qu’il est nourrit par la haine, il devient esclave du mal et le mal fait souffrir l’âme, jusqu’à la rendre incapable de nourrir l’enfant et l’enfant dans le mal souffre.

Lorsque sa chair va dans son repos, l’âme, l’âme malade en sa noirceur ne sait pas, ne sait pas où se diriger, car l’enfant est responsable de l’âme. L’enfant doit être devant l’appel de Dieu. Dieu appelle l’enfant. C’est Dieu qui appelle l’enfant et l’enfant dirige son âme, mais lorsque l’enfant ne répond pas à l’appel de Dieu il souffre, il se refuse à Dieu, il ne veut pas de Dieu, alors il va en enfer. Mais lorsque l’âme est là à attendre parce que l’enfant ne sait pas, ne répond pas, ne veut pas, il ne dirige pas l’âme. L’enfer n’a pas été accepté par l’enfant, le purgatoire n’a pas été accepté par l’enfant ni le Royaume de Dieu. Tous doivent vivre leur jugement. Chaque enfant de Dieu doit vivre son jugement.

Maintenant, vous venez de comprendre. Vous savez maintenant que nous sommes enfants de Dieu et que chaque enfant de Dieu doit répondre à l’appel de Dieu. Alors, aidons-nous les uns et les autres. Que ce soit dans le passé, le présent où dans le futur, nous avons le devoir d’aimer qui nous sommes, et ce que nous sommes c’est une chair, nous l’avons appris. Alors, aidons toutes les chairs à être dans leur repos lorsqu’elles sont dans leur repos. Aidons nos frères, nos sœurs à répondre à l’appel de Dieu, ainsi l’âme sera là où elle doit être : à être devant le choix de l’enfant. Satan ne veut pas que ces âmes errantes soient dirigées par l’enfant. L’Esprit de Dieu, l’amour de Dieu, appelle tous les enfants de Dieu et il va faire tout pour que nous ne croyions pas à cela, Satan. Satan va faire tout cela. Et j’ai été, moi, de celle-là. Je n’ai pas cru, j’étais dans l’ignorance et il me maintenait dans l’ignorance. Lorsque j’ai accepté, c’est Jésus qui a nourri mon oui et c’est Jésus qui nourrit votre oui.

Nous devons avancer dans ce que nous connaissons, mais ne prenons pas les devants. Laissons à Dieu ce qui est à Dieu ; s’il veut se servir de nous, eh bien, que cela soit. Chacun à ses talents, chacun à sa mission. Alors, faisons ce que Dieu nous demande, mais maintenant que vous savez, vous ne pouvez plus vous coucher sans demander à Jésus : "Bénis ces âmes errantes", ça, on ne peut plus maintenant ignorer ça.

Q.  Et la force de la messe ?

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : La messe…, oui, toutes les âmes. Alors prions. Notre pays va en être libéré, parce qu’ils font, hein, des choses quelquefois ; ils ne savent pas qu’ils causent des accidents eux autres en auto, ils ne savent pas qu’en faisant du bruit, il y en a qui font des dépressions ; ils ne savent pas ça, alors aidons-les, aidons-nous.

Q.  Souvent on fait dire une messe pour les âmes du purgatoire, mais est-ce qu’on ne peut pas dire une messe pour les âmes errantes aussi ?

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Bien oui, puisque moi j’ai assisté à une messe pour les âmes errantes.

Q.  Oui, mais à la paroisse, par exemple ?

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Ah, bien là, si vous avez votre prêtre qui, allez-y, vous savez moi je ne savais pas ça, mais je ne peux pas vous dire que tous les prêtres savent cela… Voilà, ce n’est pas une vérité de l’Église ça, il faut comprendre cela. Alors, demandons à notre prêtre de la paroisse, une prière pour toutes les âmes, pour toutes les âmes. Alors, là, elles vont rentrer là-dedans.

Q.  Les plus abandonnées ?

 R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Les plus abandonnées, merci. Voyez-vous ce que c’est que l’Église ? Voilà ce que Dieu nous donne, voilà ce que c’est qu’être ensemble : pour les âmes les plus abandonnées.

Q.  Les moines et les moniales ils prient pour tout le monde ?

R.  La Fille du Oui à Jésus en le Saint-Esprit : Oui, c’est vrai qu’ils prient pour tout le monde, mais s'ils ne savent pas que ces âmes errantes ont besoin de prières, ils prient pour tout le monde qui..., c’est comme si notre chair était en connaissance. On prie pour ce que nous connaissons, même pour qui nous prions nous ne pouvons mettre un nom là-dessus. Mais si nous ne savons pas que cela existe, nous ne pouvons pas prier pour ce qui n’existe pas dans notre vie (échange de paroles...).

Ce que le Seigneur demande c’est de nous accomplir comme des enfants. Nous, nous mettons toujours notre volonté humaine en avant et nous laissons notre volonté humaine nous conduire. On prie, alors continuons à prier. Nous avons été témoins de personnes qui croient que cela est un jeu pour eux. Aujourd’hui, nous vivons dans une société où tout n’est que sensationnalisme, tout n’est que sensation. On fait des émissions sur des phénomènes et le monde regarde cela sans réagir. On trouve cela amusant de voir des cadres se tourner, on trouve cela amusant de voir des chaises le lendemain être à l’envers sur la table, on trouve cela amusant de voir que dans les garde-robes il se passe des choses comme des vêtements tout en désordre alors que la veille tout était en ordre. On en fait même des phénomènes pour attirer l’attention et c’est dans notre monde. Ce sont des âmes errantes qui veulent, qui veulent qu’on les aide, et cela ça se passe en 2009.

Alors, faisons ce que Dieu nous demande. Nous donnons ce que nous connaissons, nous ne donnons pas ce que nous ne connaissons pas. Les prières sont des prières qui nous apportent beaucoup de grâces, mais ne demandez pas des prières et vous n’obtiendrez pas des grâces. Comment se fait-il que nous qui prions sommes aux prises avec une chair qui ne cesse de mentir, une chair qui ne cesse de jalouser et pourtant nous prions ? Tant que nous ne serons pas dans la connaissance, nous ne pourrons nous accomplir.

En ces temps, Dieu nous montre : « Refusez, refusez en sachant que vous êtes aimés de Dieu, protégés par Dieu et les démons ne pourront rien contre vous ». Et pourtant on a prié, pourtant on n’a pas voulu mentir : "Je ne veux pas mentir". La différence, c’est que maintenant Dieu nous montre que toutes les chairs sont ensemble pour écouter. Il fallait que toutes les chairs crient qu’elles en ont assez. Ceux qui croient crient, ceux qui ne croient pas crient, parce que le monde est en train de s’autodétruire. Nous ne crions pas tous vers Dieu, mais nous crions vers quelque chose qui est plus grand que nous, quelque chose qui nous aidera à réparer cette terre que nous avons contaminée. Et ce cri s'est fait entendre à Dieu. Voilà pourquoi Dieu dit : « C’est le temps de la purification de la chair ». Il fallait qu'on crie tous.

Ceux qui portent un non n’ont pas crié, mais ceux qui portent un oui ont tous crié. Voilà pourquoi le refus aux tentations sera pour nous agissant, car nous ferons ce que Jésus nous demande : "Jésus, merci d’envoyer les esprits impurs au pied de ta Croix", et ils y resteront jusqu’à tant que tous les esprits impurs ne seront pas au pied de la Croix. Nous nous accomplirons. Ce que Jésus a fait sur la Croix, nous nous le ferons. Aucun de nous ne fera pour un autre ce que nous devons faire, mais nous nous soutiendrons tous, nous guérirons ; d’autres viendront et ils guériront.

La Mère de Dieu va nous donner des grâces et nous poursuivrons notre purification, c’est notre choix. Oui, il y a beaucoup de personnes qui ont prié et qui nous ont amenés là où nous sommes aujourd’hui. Tous ceux qui ont été avant nous nous ont aidés et nous avons crié, nous avons tous crié : "Il n’y a que toi Dieu qui peut faire quelque chose". D’autres ont crié d'autres façons : "On en est tanné de cette vie, qui va venir nous aider ?" Eh bien, Dieu a écouté, a écouté ses enfants.

Alors, nous allons nous dire bonsoir.