Florilège de citations de "penseurs" politiquement corrects et la gravité des propos de Vincent Peillon qui veut terrasser définitivement l'Eglise Catholique


Merci de lire ce florilège de citations de "penseurs" politiquement corrects", et après cela, nous ne serons certainement pas du tout enthousiastes à l'idée de leur confier l'éducation de nos enfants et petits-enfants !

"Ce qui est cause, c'est l'hétérosexualité en tant que norme. Il  nous faut essayer de penser un monde où l'hétérosexualité ne serait  pas normale" (Eric Fassin, sociologue, promoteur de la théorie du genre en France, professeur à l'Ecole Normale Supérieure).

"Les enfants n'appartiennent pas à leurs parents" (Laurence Rossignol, sénatrice PS et lesbienne, 5 avril 2013, en direct sur France 2, émission "Ce soir ou jamais").

"Le but de la morale laïque est de permettre à chaque élève de s'émanciper... Il faut être capable d'arracher l'élève à tous les déterminismes : familial, ethnique, social, intellectuel" (Vincent Peillon, Le Figaro, 2 septembre 2012).

"Toute l'opération consiste bien, avec la foi laïque, à changer la nature même de la religion, de Dieu, du Christ et à  terrasser définitivement l'Eglise" (Vincent Peillon, "Une religion pour la République", page 277, édition du Seuil, 2010).

"Il faut donc à la fois déraciner l'empreinte catholique qui ne s'accommode pas de la République et trouver, en dehors des formes religieuses traditionnelles, une religion de substitution qui  arrive à inscrire jusque dans les mœurs, les cœurs, la chair, les  valeurs et l'esprit républicain sans lesquels les institutions  républicaines sont des corps sans âme qui se préparent à tous les  dévoiements" (Vincent Peillon, "ibid", page 34, un état juif selon  son voeu).

"La laïcité française, son ancrage premier dans l'école, est l'effet d'un mouvement entamé en 1789, celui de la recherche  permanente, incessante, obstinée de la religion qui pourra réaliser la Révolution comme promesse politique, morale, sociale,  spirituelle. Il faut pour cela une religion universelle : ce sera  la laïcité. Il lui faut aussi son temple ou son église : ce sera  l'école. Enfin, il lui faut son nouveau clergé : ce seront les  hussards noirs de la république" (Vincent Peillon, "ibid", page 48).

"Il faut toucher un maximum de gens avec des messages subversifs et politiques" (La réalisatrice (juive) du film "Tomboy" à propos de son film projeté en classes de primaire).

"Je suis pour la GPA accessible à tous les couples" (Jean-Pierre Michel, sénateur PS, rapporteur du texte de loi sur le mariage pour tous au sénat).

"Des parents, un géniteur, une "gestatrice" peuvent permettre  ensemble la venue au monde d'un enfant" (Najat Vallaud-Belkacem, porte-parole du gouvernement)

"Il faut en finir avec la filiation biologique" (Erwan Binet, député PS, homosexul et rapporteur de la loi Taubira).

"Une femme doit pouvoir avoir accès à la PMA parce qu'elle ne  souhaite pas avoir de relations avec un homme" ( François Hollande)

"Il s'agit de substituer a des concepts  tels que "le sexe" ou "la différence sexuelle" le concept de "genre" qui montre que les  différences entre le différences entre les hommes et les femmes ne sont pas fondées sur la nature mais socialement construites. [...] [La théorie du genre] se borne à dire que les  hommes et les femmes ne se retrouvent pas dans leur état biologique et se construisent autrement" (Julie Sommaruga, député PS et lesbienne).

"Je ne vois aucun inconvénient ni pour les unions à plusieurs, ni  pour les unions polygames, ni pour l’inceste" (et toujours Julie Sommaruga, député PS)

"Moi je suis pour toutes les libertés. Louer son ventre pour faire  un enfant ou louer ses bras pour travailler à l'usine, quelle  différence ? C'est faire un distinguo qui est choquant" (Pierre Bergé, le mécène du P.S. au Figaro).

"Admettre la différence des sexes, c’est admettre la complémentarité des sexes, donc la domination patriarcale, donc  l’oppression et l’aliénation de la femme" (Judith Butler, philosophe féministe du genre).

"Le droit à l’adoption pour les couples homosexuels repose sur une filiation fondée sur la volonté individuelle et la volonté n’a  pas de sexe" ( Daniel Borillo, Sénat) né sans parents...!

"La famille est une construction sociale créée par les hommes pour dominer les femmes" (Roselyne Bachelot, janvier 2013 - juive).

"Revendiquer l’égalité de tous les individus quels que soient leur sexe et leur orientation sexuelle, c’est déconstruire la complémentarité des sexes et donc reconstruire de nouveaux fondements républicains"."Il s’agit donc de déconstruire la complémentarité des sexes pour transformer en profondeur la  société" (Réjane Sénac, chercheure au CNRS affectée au Centre de Recherches Politiques de Sciences Po (CEVIPOF), enseignante juive  à Sciences-Po Paris et à l’université Sorbonne Nouvelle –Paris 3,  source : rapport du SNUipp, pages 24 et 25).

"Je pense qu’en matière du lien de filiation, le mariage est devenu tout à fait secondaire. [...] Il me paraît évident que le  groupe que je préside préconisera d’ouvrir la possibilité d’adoption aux couples non mariés, parce que, tout simplement, ça  va de soi" (Irène Théry, sociologue, directrice d’étude à l’EHESS et nommée présidente d’un groupe de travail par Dominique Bertinotti  dans le cadre de la Loi Famille)

"Pour pouvoir abolir le mariage, il faut d’abord que tout le monde puisse en bénéficier. Ce que vous évoquez est tout à fait envisageable [l’abolition du mariage] […] c’est l’étape suivante" (Caroline Mécary, Avocat au barreau de Paris, festival «Mode d’emploi» à Lyon, novembre 2013 juive et lesbienne

"Une proposition que je vous soumets, ce serait de disjoindre la parentalité et la conjugalité – pourquoi ne pas proposer dès la naissance des enfants, disons juste après le sevrage, une disjonction des maisons, c’est-à-dire une résidence alternée  dès la naissance. Au moins, les femmes anticiperaient une carrière  maternelle comme les hommes anticiperaient une carrière paternelle [...]. Les hommes pourraient envisager des  métiers où ils seraient bien obligés une semaine sur deux de  s’occuper des enfants.

Ce qui veut dire qu’au moment de la séparation, les choses seraient beaucoup plus simples : il n’y  aurait plus de séparation puisqu’on serait déjà séparés" (Caroline Mécary, avocat au barreau de Paris, spécialiste des droits des homosexuels, Festival "mode d’emploi" à Lyon).