De l’ouvrage « Le Grand Monarque » selon les prophéties :

- extrait des pages 91 à 94 :

« [Le Grand Monarque] sera de la Maison de France, c'est-à-dire un descendant des rois capétiens.

Les prophéties de Saint Vincent Ferrier et celles de Merlin Joachim disent qu’il descendra du roi Pépin (777-810) [dit le bossu, à ne pas confondre avec Pépin le bref, père de Charlemagne], second fils de Charlemagne. Il faut noter que tous les Carolingiens et tous les Capétiens descendent par loi salique de Pépin.

Charlemagne et Pépin le bossu

L'article de l'encyclopédie libre Wikipédia sur Pépin le bossu : http://fr.wikipedia.org/wiki/P%C3%A9pin_le_Bossu

Nombreuses prophéties le disent descendre des Capétiens ; donc il aura du sang de Saint Louis. La bienheureuse Catherine de Rocconigi assure qu’il sera de la postérité de François I er.

Cela est intéressant, car François I er est un Valois, fils de Charles Valois-Orléans, comte d’Angoulême, et que Nostradamus parle du Grand Monarque sous le vocable du roi de Blois et l’appelle également le grand roi d’Angoulmois, c’est-à-dire d’Angoulême.

Saint François de Paule écrit au roi Louis XI : « De votre postérité, sortira un rejeton qui sera comme le soleil entre les astres […] il détruira les hérésies, abolira les tyrannies sur la Terre, obtiendra la principauté sur l’univers […] il n’y aura plus qu’un seul troupeau et un seul pasteur ».

J’ai relevé, tout comme le marquis de la Franquerie, près de vingt textes prophétiques, qui affirment que le Grand Monarque descendra de Louis XVII, c'est-à-dire du second dauphin, Louis-Charles, duc de Normandie.

De nombreux textes font référence au rameau coupé et au rejeton.

La plupart de ces prophéties parlent du roi caché, qui est connu de Dieu seul et fait pénitence au désert. Il sortira donc à son heure. Dieu nous en réserve la surprise. Surprise proche, puisqu’elle aura lieu entre cinq et dix ans d’ici [ceci n’est pas tout à fait exact puisque le texte a été publié en 1995].

Le Sacré-Cœur de Jésus dit à Marie Julie Jahenny de la Fraudais : « Je veux récompenser l’attente et la confiance de celui qui attend tout de moi et rien des hommes. Sa bannière blanche sera plantée sur la France et ses ennemis seront forcés de vivre sous sa dépendance ».

Saint Michel ajouta à cette sainte femme : « Je suis l’ange des grandes nouvelles, je suis l’ange porteur des secrets de l’Eternel. Laissez les hommes de la terre chercher leurs couronnes ; leurs sceptres. Celui qui doit la porter est encore caché dans le secret de l’Eternel.

Celui-là est le vrai, le véritable envoyé de Dieu. Je viens vous apporter cette glorieuse et bonne nouvelle du salut…Mais de l’autre côté, je porte une nouvelle terrible, je porte aux pécheurs la vengeance du Tout-Puissant ; je viens planter la croix au milieu de vous, âmes fidèles, mais avec elle, j’apporte le secret du roi qui doit tous vous sauver. Au milieu d’innombrables merveilles, j’apporte le nom que le Divin Roi du Ciel a choisi Lui-même pour vous sauver tous […] ».
Marie-Julie a confié personnellement au marquis André de la Franquerie que : « Personne ne connaîtra le Roi. Il est le Roi caché et Dieu ne veut pas qu’on le connaisse avant l’heure de sa Providence, car s’il était connu, les francs-maçons, les républicains, ou certains prétendants essaieraient de le faire disparaître ».

La prophétie de Prémol nous dit que le Coq (c'est-à-dire un descendant du prince Louis Philippe d’Orléans) chantera la gloire du Grand Monarque. Il la chante déjà celui que je connais personnellement pour l’avoir rencontré à Paris.

Ce prince, qui est intelligent et même brillant, se trompe, car ce n’est évidemment pas un prince d’Orléans qui sera le Grand Monarque. Mais un prince de cette maison essaiera par tous les moyens de monter sur le trône alors vacant. En fait, ce sont certains hommes politiques du moment qui, dans la crise offriront le trône aux Orléans, quand ils penseront que la république est perdue.

C’est un peu ce qui se passa pendant la Révolution de 1830. Louis-Philippe prit le pouvoir, parce qu’il était vacant, Charles X ayant préféré la fuite et l’exil.

 

PORTRAIT PHYSIQUE DU GRAND MONARQUE

Il est déjà né [l’auteur écrit ces mots en 1995] au moment où j’écris ces lignes. Il n’est pas riche et vit très modestement. Il est orphelin depuis très jeune de père et de mère. Il vivra une grande partie de son existence en exil, par rapport à son lieu de naissance, qui est la France. Il vit sur une ile à l’étranger. C’est assez vague pour nous perdre en conjectures.

Il a le front haut de Marie-Antoinette (comme Louis-Charles, duc de Normandie, ex-baron de Richemont), les sourcils marqués, yeux en amande, le nez aquilin, c'est-à-dire qu’il ressemblera au roi Henri IV. On dit, par ailleurs, qu’il boitera de la jambe droite, suite à un accident.

 

CARACTERE ET VERTUS DU FUTUR ROI

Toutes les prophéties concordent dans le sens suivant :

Grande piété envers Dieu, roi modèle, très chrétien, religieux, plein de bonté et de justice. Débonnaire, il sera très simple de cœur. Il sera sage, doux et sévère tout à la fois. Dieu donnera au roi, lumière, sagesse et puissance. Il l’a préparé depuis longtemps et l’a fait passer au creuset de l’épreuve, nous dit encore Mère du Bourg.

Une âme privilégiée contemporaine ajoute : « L’intelligence humaine la plus grande serait-elle capable de réparer le désordre qui règne partout ? Celui que Dieu a choisi n’aura pas besoin de tant de science et d’expérience. L’amour de Dieu suppléera à tout ; il sera guidé par la grâce de Dieu. Le Sacré-Cœur et Saint Michel lui feront connaître ce qu’il devra faire pour accomplir les desseins de Dieu ».

On peut penser qu’il ressemblera à Jeanne d’Arc. Il aura des voix et des signes qui lui permettront de connaître sa mission. Des signes dans le ciel seront visibles pour lui seul au moment choisi par la Providence.

LE SAINT PAPE

Ce pape sera du sang des Bourbons et donc un cousin éloigné du Grand Monarque. Il viendra d’un ordre monastique, qui pourrait être l’ordre des carmes déchaussés. Il ne sera pas cardinal, mais un simple moine-prêtre. Son élection sera providentielle, car il n’y aura pas de conclave, le Vatican étant alors complètement ruiné et désorganisé suite à la guerre civile qui touchera l’Italie à cette époque.

Inspiré, le Grand Monarque ira le chercher dans un monastère de France ou d’Europe et le rétablira à Rome dans toutes ses prérogatives de pontife.

Le Bienheureux Amadio, au 12 ième siècle, nous dit :

« Dieu se choisira un homme selon son cœur et le chargera de paître le troupeau de son peuple. Et cet homme enseignera à toutes les nations le divin vouloir de son Seigneur qu’il aimera de tout son cœur. Sa miraculeuse élection remplira d’admiration et d’étonnement les brebis. Tous les rois viendront à lui […] mais il y aura des hommes qui lui seront opposés et deviendront ses ennemis. Alors Dieu fera baisser leur tête et les abattra, afin qu’à l’Orient et à l’Occident tous sachent que la main de ce même Dieu a fait cet ouvrage. Toutes les nations infidèles se convertiront à la vraie foi et obéiront à ce pasteur comme à leur père, et lui, et ses successeurs pendant longtemps les gouvernements dans la crainte de Dieu. Tous les hommes ne formeront plus qu’un seul troupeau sous un seul pasteur.

Cet homme prédestiné observera les Canons et les anciennes coutumes des Pères de l’Eglise, il extirpera les mauvaises, fera obéir aux bonnes et les établira solidement.

Il aura bien plus le soin des âmes et des intérêts spirituels que celui des temporels. Il ne s’occupera de l’argent qu’autant qu’il le faudra pour les besoins de l’Eglise, des orphelins, des veuves et des autres pauvres.

Le pasteur que Dieu aime et choisit entrera au temps marqué dans le temple ; il purgera et réformera l’Eglise et tous admireront stupéfaits […] il imitera le Seigneur en réalité par la parole et l’exemple […] il enseignera tous les secrets qui sont encore cachés sur la création des anges, sur Dieu et sur l’Univers.

Rome sera renouvelée en ces jours et présidera au monde entier. Avec ce Grand Pasteur surgira le Grand Roi…Les siècles finiront, la primitive unité sera rétablie, tous les membres dépendront du même chef et toutes les bergeries particulières feront partie de l’unique bercail du Christ ».

Saint Méthode, évêque et martyr sous Dioclétien, annonce :

« […] Lorsqu’on y pense le moins, il s’élève un roi des romains (un grand pape), qui porte heureusement les armes contre ces orgueilleuses multitudes (les musulmans). La valeur et le jugement se trouvent partout avec lui, triomphant de toute leur gloire.

Son fils (le Grand Monarque) le seconde avec de glorieux succès dans la Terre Sainte. La joie de ces infidèles se change en pleurs et en gémissements…L’Egypte est désolée, l’Arabie brulée et les villes maritimes pacifiées…il s’ensuit une paix admirable, et telle qu’elle n’a jamais été vue… ».

- extrait des pages 105 à 114 :

« […] Nous savons que le Grand Monarque sera plutôt jeune et inspiré par Dieu. Il sera guidé comme Jeanne d’Arc le fut elle-même par Saint Michel.

Il est né en France. Il est d’origine capétienne. Orphelin très jeune, il aura vécu une longue partie de son existence à l’étranger. Lorsqu’il partira pour sa mission, il quittera une île.

On peut penser à une île du Québec, car le Québec, dont parle plusieurs fois Nostradamus dans ses Centuries, est une des pointes du triangle sacré de l’Occident.

Bien sûr, on pense tout de suite à l’île de Montréal, appelée Ville-Marie au début de la colonisation, car il est clair que Marie et son drapeau fleurdelysé aura son rôle à jouer.

Je rappelle que le sang de nos rois de France coule dans les veines de nombreux Québécois, descendants des filles du Roy. Ces filles étaient souvent des enfants illégitimes des princes de France.

Il y a de superbes profils bourboniens au Québec et le drapeau du Québec, dans son langage muet, nous le rappelle, lui qui fut hissé sur le Parlement de Québec, le 21 janvier 1948, date anniversaire de la mort du roi Louis XVI.

Le Grand Monarque sortira-t-il de Montréal ? Mystère ! Mais ce que l’on sait depuis longtemps déjà, c’est qu’il ne peut être ni un prince d’Orléans, car c’est une branche régicide, ni un Bourbon d’Espagne, car il doit être fils de France et non d’ailleurs, selon les prophéties.

Il pourrait donc descendre de plusieurs branches du tronc capétien, c'est-à-dire qu’il pourrait tenir de la branche des Valois (lignée de Charles VII, que Jeanne d’Arc a servi), de la branche des Valois-Angoulême (lignée de François 1 er), de la branche des Bourbons (lignée de Louis XVI).

Devant être inconnu du monde, le jour précédant sa mission, le Grand Monarque ne peut descendre de la branche de Charles Naundorff (descendant aînée du roi Louis XVI), qui est aujourd’hui une branche connue du tronc capétien.

[…] Il descendra [certainement] de la branche cadette issue du second fils de Louis XVI, Louis-Charles de France, duc de Normandie, qui porta le pseudonyme de baron de Richemont dans les dernières années de son existence.

Il est alors certain que ses origines seront apparentées à plusieurs branches royales. C’est pour cela que les prophètes, les voyants et les mystiques qui nous parlent de lui, lui donne plusieurs appellations (roi de Blois, roi d’Angoulmois, Chyren, Henri-Sauveur, Henri-de-la-Croix, etc.).

[…] Il sera très religieux, restera célibataire et sera comme un moine-soldat. Il pourrait boiter de la jambe droite, suite à accident de cheval. Il aura des signes naturels sur le corps, qui le feront reconnaître.

D’après certains textes, il ne règne pas longtemps. Mais il y a une certaine contradiction entre les prophéties à ce sujet.

 

SA MISSION

Elle sera triple :

Pour comprendre sa mission, le Grand Monarque recevra des signes du Ciel et des messages, comme jadis Jeanne d’Arc en avait reçu de ses voix […]. Il y a aussi u mystère Jeanne d’Arc, que la France devra connaître un jour […].

Il pourrait apercevoir une aurore boréale particulièrement extraordinaire ou voir un astéroïde, comme un deuxième soleil brillant dans le firmament pendant huit jours, s’approcher de la Terre et percuter certaines villes du monde. Peut-être lira-t-il un message dans le Soleil ?

En tout cas, il lui faudra un grand choc pour le décider à s’engager dans la bataille, car il ne possédera rien au début de sa mission, ni hommes, ni armes.

Presque tous le rejetteront, y compris ce qui reste aujourd’hui de la noblesse française, qui ne supportera pas de voir un va-nu-pieds prétendre au trône de France. Une grande partie des royalistes et des monarchistes d’aujourd’hui attendent une sorte de restauration mythique, où le roi, majestueux et condescendant, redistribuera des privilèges pour sa caste. Erreur fatale, que firent aussi les Juifs envers le Messie.   

Rappelons-nous que les vrais légitimistes, c'est à dire ceux qui soutiendront l'Elu de Dieu, un descendant du second fils de Louis XVI, seront si peu nombreux qu'ils pourraient tous entrer dans un espace réduit à une cabine d'ascenseur, soit environ 4,50 m2.

L'intervention du Grand Monarque ne pourra avoir lieu que lorsqu'une crise politique majeure éclatera en France, menant à la guerre civile. Car, c'est d'abord la France qui s'enfonce dans une terrible crise sociale et politique; puis vient ensuite le tour de l'Italie, qui subit des persécutions religieuses; enfin, vient le tour de l'Angleterre, qui vit une révolution, amenant un changement de régime (la chute de la monarchie, qui sera plus tard rétablie avec l'aide du Grand Monarque).

D'après Nostradamus, le Royaume-Uni de Grande-Bretagne s'effondrera pour donner naissance à quatre royaumes, du temps du Grand Monarque : Royaume d'Irlande, Royaume d'Ecosse, Royaume de Galles, Royaume d'Angleterre. C'est la France, grâce à son roi, qui sortira la première de ses malheurs et ira aider les autres pays d'Europe à retrouver la paix.

Les forces islamiques alliées aux militaires russes de l'ex-Empire soviétique envahiront l'Europe par l'Est et par le sud.

Dès que la situation semblera perdue en France, le gouvernement appelera un prince d'Orléans pour essayer de rétablir la paix dans le pays. Ce prince ne restera en place que peu de temps, car sortira alors de l'ombre le Grand Monarque.

Il arrive de l'Amérique du Nord, via l'Irlande, où il séjourne quelque temps. Il s'embarque pour la France et arrive à Bordeaux, puis il part pour le Portugal et l'Espagne. Il passe les Pyrénées et va à Lourdes, où il retrouve quelques partisans.

Ensuite, guidé par ses voix, il va chercher le Grand Pontife dans un monastère de l'Ordre des carmes déchaussés, puis il part avec lui en Italie, pour l'installer à Rome. Là, beaucoup de difficultés les attendent, du fait d'un schisme et d'un antipape. Puis, le Grand Monarque remonte vers Lyon à Saint-Fons, où aura lieu une terrible bataille qu'il gagnera. C'est à partir de ce moment qu'il sera reconnu. Il est alors sacré à Reims par le Pape, mais les combats ne sont pas terminés pour autant. Il doit aller se battre en allemagne, puis se faire sacrer à Aix-la-Chapelle. Alors il aura gagné la première manche.

N'ayant ni armée, ni armements, on comprend mal comment il réussira à repousser l'envahisseur arabe. C'est le Ciel qui l'aidera, grâce à des interventions surnaturelles. "Après un moment, il n'y aura plus que cela [...]", nous disent quelques prophéties.

 

INTERVENTION SURNATURELLE DE SAINT MICHEL, PATRON DE LA FRANCE

C'est Saint Michel et les milices célestes, qui se déploieront dans le ciel, comme ils le firent déjà plusieurs fois par le passé au cours de l'histoire.

Au temps de la septième croisade (1248-1254) en Palestine, 300 croisés étaient assiégés dans une de leurs forteresses depuis plusieurs semaines par près de 3000 Arabes.

Les vivres et l'eau venant à manquer, un prêtre décida de faire une neuvaine à Saint Michel pour obtenir un miracle.

Le neuvième jour, épuisés, les assiégés entendirent au-dessus de leurs têtes tout d'abord, un cliquetis d'armes, puis un galop d'une charge de chevaux, avant d'apercevoir, venant des nuées, des centaines de cavaliers en armure, ayant à leur tête Saint Michel. La déroute des Arabes fut indescriptible et les musulmans abandonnèrent le siège dans l'heure.

Plus près de nous, un miracle éclatant, s'est produit lors de la guerre des Boxers en Chine, en 1900 :

"Le siège se prolongeait et aucun secours humain n'était à prévoir; les vivres et les munitions commençaient à s'épuiser".

Monseigneur Favier demanda avec plus d'insistance le secours du Ciel et se consacra solennelement avec ses chrétiens au Sacré-Coeur de Jésus, puis, quelques jous après, à la Très Sainte Vierge. Mais la situation demeurait toujours aussi critique. Il consacra alors officellement son diocèse à Saint Michel.

A partir de ce moment, jusqu'à la fin du siège, qui dura encore cinquante jours, les Boxers dirigèrent leur feu vers le sommet de la cathédrale.

Le 15 aôut, les assiégeants, pensant que les munitions des chrétiens étaient épuisées, s'élancèrent pour enfoncer les portes du Pé-Tang et égorger les assiégés. Mais, arrivés à la citadelle, une force invisible les arrêta. Ils sentirent devant eux un obstacle invisible et cependant infranchissable.

Effrayés; ils s'enfuirent...A ce moment-là, arrivèrent les troupes européennes.

Monseigneur Favier apprit plus tard pourquoi les Boxers visaient le Pé-Tang : "Il y avait en haut de votre église; lui-dit-on, une grande dame vêtue de blanc; près d'elle un guerrier armé de pied en cap, ayant deux grandes ailes blanches et tenant une épée en main. Autour d'eux, une multitude de soldats vêtus d'habits blancs, avec de grandes ailes blanches".

"C'était, dit Monseigneur Favier, la Vierge Marie, Saint Michel et la Milice céleste qui étaient venus nous protéger et nous bénir".

C'est de cette manière que le Grand Monarque sera aidé du Ciel. Il y aura des tremblements de terre qui permettront de ralentir ou de stopper les combats. Toute la nature participera à cette rénovation de siècle.

Il y aura des sanctuaires en France, en Irlande, en Italie, en Espagne et au Portugal, où les gens seront épargnés. Ce seront tous les endroits où des apparitions de la Vierge ou de Saint Michel ont eu lieu. Ces endroits seront peu touchés par les évènements et seront paisibles.

La Bretagne, en particulier sera très protégée du fait de la guerre de vendée pour laquelle les Vendéens versèrent leur sang sans compter, défendant leur foi en Notre-Seigneur Jésus-Christ.

 

L'ETENDARD DU GRAND MONARQUE

Le Grand Monarque posera, au coeur de son oriflamme blanc fleurdelysé, le Coeur Sacré de Jésus, conformément à un voeu reçu par une soeur visitandine de Paray-le-Monial, Marguerite Marie Alacoque, en 1689.

Marguerite Marie (1647-1690), canonisée en 1920, aura des visions et des révélations de Jésus-Christ, qui lui demandera de réaliser plusieurs demandes :

1. Qu'une fête annuelle soit instituée en l'honneur de son Sacré-Coeur.

2. Qu'un édifice soit construit pour abriter le tableau de son divin Coeur.

3. Que le roi consacre son royaume au Sacré-Coeur de Jésus.

4. Que le roi fasse peindre sur ses étendards et graver sur ses armes ce Sacré-Coeur, afin qu'il soit victorieux sur tous ses ennemis.

A ce jour, seulement deux des quatres demandes ont été satisfaites :

La fête du Sacré-Coeur fut instituée en 1856, par Pie IX, le vendredi qui suit le 2 ième dimanche après la Pentecôte.

La basilique du Sacré-Coeur (1876-1912) fut édifiée après la guerre de 1870 à Montmartre.

Il reste donc deux demandes non satisfaites à ce jour :

1. La consécration de la France au Sacré-Coeur de Jésus. Il faut cependant rappeler que Louis XVI, alors prisonnier au Temple en 1792, promit de consacrer son royaume au Sacré-Coeur de Jésus, s'il retrouvait son trône. La Providence en décida autrement.

2. La pose, par le roi, du Sacré-Coeur de Jésus en abîme (au centre) des armoieries de la famille Naundorff par cette dernière, [à la fin du 19 ième siècle], était un peu prématurée.

C'est le Grand Monarque, et lui seul, qui décidera quand et comment il devra satisfaire aux deux demandes du Ciel.

 

DESCRIPTION DE L'ETENDARD DU GRAND MONARQUE

Dans une extase du 24 octobre 1882, Marie-Julie Jahenny décrit précisémment l'étendard du futur Roi : "[...] Mes enfants, dit le Seigneur, je vous révèle, avec toute la tendresse de mon Coeur, que je veux que mes fidèles amis puissent, sans tarder, faire broder, pour recevoir l'Exilé de la terre étrangère, une blanche bannière avec, d'un côté, mon divin Coeur et, de l'autre, ma très sainte Mère immaculée, protectrice de ses enfants et reine de France".

C'est à peu de chose près, l'étendard de Jeanne d'Arc qui était blanc, au semis fleurdelysé avec, au recto, le Christ en majesté et, au verso, la Vierge Marie.

 

L'étendard du Grand Monarque

 

 

 

L'étendard de Sainte Jeanne d'Arc

 

 

 

L'étendard du Saint Pontife

 

 

LE SACRE DU GRAND MONARQUE

Le Grand Monarque sera sacré plusieurs fois et en plusieurs lieux, comme le furent jadis certains de nos rois.

Pour le Grand Monarque, Michel de Nostredame parle de Reims et d'Aix-la-Chapelle. Certaines prophéties donnent des dates pour le ou les sacres. Elles évoquent les dates de mai ou de juin.

 

Compléments biographiques concernant Louis-Charles de France, second fils de Louis XVI, appelé Louis XVII

Source : fr.wikipedia.org/.../://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_XVII

Louis XVII est le nom donné à Louis Charles de France (27 mars 1785 - 8 juin 1795), second fils de Louis XVI et de Marie-Antoinette, duc de Normandie puis dauphin de France. Suivant l'ordre dynastique, il est reconnu comme Roi de France à la mort de Louis XVI de 1793 à sa mort [supposée] à la Prison du Temple à l'age de 10 ans en 1795, par toutes les puissances étrangères et par son oncle, futur Louis XVIII.

Le futur Louis XVII est né au château de Versailles en 1785. Comme deuxième fils de Louis XVI, il n'est donc pas destiné à la naissance à prendre la succession de son père mais la mort de fievre lente de son frère aîné Louis de France agé de 8 ans le 4 juin 1789 en fait le dauphin de France, puis « prince royal » à partir de 1790.

Il passe sa première enfance à Versailles, avec sa nourrice Agathe de Rambaud [1]

Après la journée du 10 août 1792, Louis-Charles est emprisonné avec ses parents à la Prison du Temple. Très précoce pour son âge, il comprend la difficile situation de sa famille.

Confié à la garde de son père, celui-ci poursuit son éducation avant d'en être séparé, le matin du 21 janvier 1793.

En vertu du principe selon lequel la continuité dynastique est automatique en France (le Dauphin succède au roi précédent dès l'instant de la mort de ce dernier), Louis-Charles succède à son père, guillotiné le 21 janvier 1793.

Sous le nom de Louis XVII, il est reconnu comme tel par Monsieur, frère cadet de Louis XVI et futur Louis XVIII, alors émigré à Hamm, près de Düsseldorf en Westphalie Les Vendéens et les Chouans, mais aussi de fidèles royalistes dans d'autres provinces, se battront et mourront en son nom. Leurs étendards portent l'inscription : « Vive Louis XVII ».

Le jeune Louis XVII est confié à sa mère, également emprisonnée au Temple, jusqu'au 3 juillet 1793. Après cette date, il est sous la garde du cordonnier Simon et de sa femme, qui résident au Temple. L'intention des Jacobins est alors d'en faire un petit citoyen ordinaire et de lui faire oublier sa condition royale [2].

L'enfant est alors impliqué dans le procès de sa mère, Marie-Antoinette. On fait ainsi signer à l'enfant une déclaration de reconnaissance d'inceste, pour ajouter un chef d'accusation contre sa mère et pour faire suite à un gonflement de testicule constaté sur lui.

Simon, qui s'occupe de l'enfant, est jugé par les historiens comme étant un personnage grossier. Mais tant que le jeune Louis resta sous sa garde, il fut relativement bien traité. Cependant, Simon est rappelé à ses fonctions municipales en janvier 1794. Louis-Charles est alors enfermé au secret dans une chambre obscure, sans hygiène ni secours, pendant six mois, jusqu'à la mort de Maximilien de Robespierre, en juillet 1794. Son état de santé se dégrade, il est rongé par la gale et vit accroupi [3]. Sa nourriture lui est servie à travers un guichet et personne ne lui parle ni ne lui rend visite. Chez cet enfant de 9 ans, ces conditions de vie entraînent une rapide dégradation de son état de santé.

Après la mort de Robespierre, son sort s'améliore relativement, même s'il demeure prisonnier dans la tour du Temple.

Louis XVII meurt dans sa prison, probablement d'une péritonite tuberculeuse, le 8 juin 1795, à 10 ans et après bientôt 3 ans de captivité

Selon l'historien Georges Bordonove, dans son Louis XVII et l'énigme du Temple, Louis XVII serait mort non pas en 1795 mais plutôt entre le 1er et le 3 janvier 1794. Sa mort aurait entraîné la révocation de Simon et le remplacement de Louis XVII par un enfant qui, lui, serait mort en 1795. Cette hypothèse, partagée par Louis Hastier, est aujourd'hui dépassée par les analyses ADN positives effectuées en 2000 sur le cœur de l'enfant mort au Temple en 1795.

Une autopsie est pratiquée en prison sur le corps du jeune prince et son cœur a été conservé par le chirurgien Philippe-Jean Pelletan. Le corps est alors inhumé au cimetière Sainte-Marguerite, puis recouvert de chaux vive. Les ossements n'ont jamais été retrouvés et ceux dégagés au 19 ième siècle au cimetière Sainte Marguerite, proviennent de plusieurs squelettes, dont un crâne d'un jeune adulte d'au moins 18 ans.

Le cœur de Louis XVII changea plusieurs fois de main à titre de relique avant d'être placé, en 1975, dans la crypte royale de la basilique de Saint-Denis , lieu où ont été enterrés ses parents et une grande partie des rois de France. Une étude historique, conduite par l'historien Philippe Delorme, conjointement à des analyses génétiques par comparaison d'ADN mitochondrial, pratiquées par le professeur Jean-Jacques Cassiman de la KU Leuven en Belgique, et par le docteur Berndt Brinkmann de l'université allemande de Muenster, ont démontré en 2000, qu'il appartient bien à un descendant de Marie-Antoinette. Comme, de son côté, l'enquête historique confirme que ce cœur est bien celui que le docteur Philippe-Jean Pelletan a " soustrait " sur le cadavre de l'enfant mort au Temple le 8 juin 1795, ces deux informations - signature génétique et " traçabilité " historique - permettent de conclure qu'il s'agit bien du cœur de Louis XVII. Cette conclusion réhabilitant du même coup les témoignages de contemporains recueillis par l'historien Beauchesne. Cette authenticité démontrée, l'urne funéraire contenant le cœur a été placée, le 8 juin 2004, dans la chapelle des Bourbons de la basilique Saint-Denis, lors d'une cérémonie rassemblant des membres de la famille de Bourbon et diverses personnalités.

Malgré cela, certains continuent de vouloir démontrer la survivance du prince à l'épisode du Temple mais pour la plupart des spécialistes, l'analyse ADN du cœur, conjuguée avec l'enquête menée sur son origine et les péripéties de son histoire, est suffisante pour attester de la mort du prince au Temple. C'est en particulier le cas du professeur Jean Tulard, membre de l'Académie des Sciences Morales et Politiques

Des rumeurs coururent rapidement selon lesquelles le dauphin se serait évadé du Temple et que le jeune garçon avait été délivré par des royalistes, ayant remplacé le corps. Une rumeur assez répandue dit même que Georges Danton aurait participé à cette évasion.

De nombreux prétendants (plus d'une centaine dont le plus célèbre étant l'horloger prussien Karl-Wilhelm Naundorff) se manifestèrent à travers l'Europe durant plusieurs décennies, et certains de leurs descendants ont conservé un petit nombre de partisans aujourd'hui.

Le Baron de Richemont, mort au château de Vaurenard à Gleizé prés de Villefranches sur Saône, le 10 août 1853, a également eu de nombreux partisans, parmi lesquels le Vicomte Sosthèsnes de La Rochefoucauld, duc de Doudeauville,aide de camp de Charles X.


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