Source : http://www.jnsr.be/fr.htm

POURQUOI  TROIS  PAPES ?...

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23 Août 2013

 

Lorsque la Très Sainte Vierge Marie demanda à Son Adorable Fils de nous donner comme Pape, Notre Bien-Aimé Jean Paul II, ce fut une « Résurrection Nouvelle dans l’Eglise » qui prit en main « la Jeunesse » et la récupéra avec ferveur.

Cette jeunesse commença à s’épanouir, car elle comprenait mieux cette grande  « Educatrice des Peuples » qu’est l’Eglise, qui la nourrissait mieux, par Son « Nouveau Pape » ouvert aux jeunes, et qui arrivait comme un vent nouveau, pour aérer cette Institution Mondiale, qui se répétait, essoufflée, et toujours pour les mêmes, qui continuant le même « train-train », en oubliant de se renouveler. Si Dieu est toujours Le Même, ce n’est pour cela qu’Il ne se met pas à  la portée de Son Temps !...

Mais cette jeunesse n’eut pas la chance d’avoir un second Jean Paul II, et elle se retrouva ensuite avec « un Maître formidable » qui fit, par sa virtuosité hors classe, une Eglise accomplie, en ne considérant pas hélas, ceux qui se réveillaient à présent. (C’étaient toujours les anciens paroissiens qui se retrouvaient en Benoit XVI). Car les jeunes n’avaient pas assez mûri pour oser continuer avec l’ « Eglise de leurs parents » … Et « cette naissance nouvelle » se flétrit, avant même d’avoir grandi en force, pour persister…

Et ce qui devait arriver, arriva !

Notre Seigneur, avant de prendre une décision, avertit « Ses deux Papes », qui Lui obéirent en LE suivant, avec amour et compréhension… L’un en se retirant…

Et l’autre en s’installant, comprit alors qu’il n’allait sans doute pas faire plaisir à ses confrères qui l’avaient élu, mais  obéissant à « Jésus-Christ qui Est le Chef de l’Eglise », il devint  ce qu’il devait être « le Pape de cette Nouvelle Récolte » attendue, celui-là qui devait venir « même avant Benoit XVI : Celui du Nouveau Catéchisme », celui de l’AMOUR « cours préparatoire » car le Monde a oublié Dieu.

Il ne se souvient même plus du Premier Commandement de Dieu : « Tu adoreras Dieu Seul et tu L’aimeras plus que tout ». Dieu ajouta : « Tu aimeras ton prochain comme toi-même ».

Voici que pour remettre l’Eglise sur ses rails, nous devenons, tous les Chrétiens « des petits enfants » qui ont besoin de reprendre le catéchisme au tout début.

« Voyez comme ils sont heureux ! Le Pape est devenu l’Enseignant du Tout début : « Laissez venir à moi, tous les petits enfants » (Paroles du Christ.)

Ne pensez pas que le Seigneur, cette fois encore, va retarder l’heure de Sa venue !

Non ! Car les cours de catéchisme vont s’accélérer !

Je ne vous laisserai plus dormir devant l’horreur, que l’Homme sans Dieu vient de créer !...

Le Temps est celui que vous voyez se dessiner plus que jamais… L’enfant meurt devant son bourreau…

Et l’Eglise actuelle brûle, car les hommes de pouvoir précipitent Ma venue.

Vous êtes tous appelés à poursuivre cette Nouvelle Evangélisation, avant même que Mon Règne arrive… Car déjà la Nouvelle Aurore M’annonce partout ! »    

    

Amen.

Jésus-Christ vous parle, par J.N.S.R.

Que DIEU vous bénisse !

 

Commencez à comprendre DIEU

Qui Est le Père de chacun !

Nous sommes tous nés de « SON AMOUR »

Et NON de SA « religion », comme chacun le qualifie !

Je SUIS L’AMOUR

Je SUIS  DIEU  Unique et VRAI

En trois Personnes : Le PERE, le FILS, et le SAINT ESPRIT.

 

AMEN               †

 

Source : http://www.lefigaro.fr/vox/religion/2014/02/10/31004-20140210ARTFIG00356-jean-paul-ii-benoit-xvi-francois-mes-trois-papes.php

Jean Paul II, Benoit XVI, François : mes trois Papes

Messe à Notre-Dame de Paris après le décès de Jean-Paul II .Sébastien SORIANO / Le Figaro

PIERRE-HERVE GROSJEAN- Le curé de Saint-Cyr l'école (Yvelines), fondateur du Padre Blog montre la continuité qui existe entre les souverains pontifes. Pour lui, si les papes meurent, l'Eglise demeure.

Il y a un an, Benoît XVI surprenait le monde entier en annonçant qu'il déposait sa charge, persuadé qu'il lui fallait s'effacer devant un autre, pour le bien de l'Eglise. Une deuxième surprise fut l'élection du Pape François! Déjouant tous les pronostics des « spécialistes », elle installait sur le trône de Pierre un homme de terrain, capable de toucher les cœurs bien au delà des frontières de l'Eglise.

Jean-Paul II, Benoît XVI, François … Nombreux sont ceux qui ont essayé d'opposer entre eux ces trois géants de la foi. C'est mal les connaître et ne pas comprendre l'Eglise. Le pape n'est pas le propriétaire d'un message qu'il pourrait modifier à sa guise. Il le reçoit et le transmet. Depuis 2.000 ans, les papes se sont succédés. A travers ces hommes, leurs talents et leurs faiblesses, le message continue d'être transmis. Les chefs d'orchestre se succèdent, chacun avec sa personnalité, mais la partition reste la même: l'Evangile. Quand on me demande celui que je préfère des trois, ma réponse est toujours la même: avant d'aimer Jean-Paul, Benoît ou François, j'aime le Pape. En ce sens, j'aime déjà avec la même foi le prochain évêque de Rome, avant même de le connaître.

Le pape n'est pas le propriétaire d'un message qu'il pourrait modifier à sa guise. Il le reçoit et le transmet.

Cela ne nous empêche pas de méditer sur ce que chacun de ces papes aura apporté de particulier à l'Eglise et au monde. Ils n'ont assurément pas les mêmes charismes, et c'est précieux pour l'Eglise. S'il fallait reprendre une grille de lecture que d'autres ont déjà utilisée, je dirais ceci :

- Jean-Paul II fut le Pape de l'Espérance. Quand il devient le Vicaire du Christ, il trouve une Eglise fragilisée par les tourmentes de l'après-Concile. Le monde est, lui, encore en pleine guerre froide, avec ce mur du silence qui traverse l'Europe et derrière lequel le communisme règne encore en maître. A l'Eglise et au monde, Jean-Paul lance ses premiers mots de Pape : « n'ayez pas peur ! ». Des épreuves et des persécutions qu'il a lui-même connu, Jean-Paul II sait qu'elles n'auront pas le dernier mot si l'homme s'appuie sur le Christ. Face à l'athéisme qui ronge l'Europe, il relance l'Eglise dans une dynamique positive en l'invitant à une «nouvelle évangélisation». Il s'adresse directement aux jeunes à travers les JMJ: le Pape les sait moins marqués idéologiquement que leurs aînés et mise sur eux pour que le message de l'Eglise, qu'il explique avec une paternelle et fougueuse exigence, soit redécouvert et proposé comme le chemin d'un bonheur vrai. A travers ses nombreux voyages, Jean-Paul II transmet cette espérance aux peuples opprimés, leur donnant courage et force pour faire tomber les murs.

- Benoît XVI s'impose naturellement comme son successeur, après avoir été longtemps son bras droit. Le Pape-professeur aura été le Pape de la Foi. Loin des caricatures, il se révèle doux et humble, amoureux de la Vérité, rappelant sans cesse que la dignité de l'homme, face au relativisme ambiant, est de pouvoir chercher avec sa raison cette Vérité et l'accueillir dans la foi. Le Pape Benoît marque les grands comme les petits de ce monde par la clarté de son enseignement. Il explique la foi, en montre la cohérence, redonne l'envie de lire, et croit les jeunes capables eux aussi d'entrer dans cette intelligence du message évangélique. Soucieux de soigner les blessures et de reconstruire l'unité des catholiques, il fera l'impossible pour convaincre la Fraternité Saint Pie X de revenir et sera attentif à la beauté de la liturgie. On lui doit aussi la tolérance zéro vis-à-vis des affaires de pédophilie qui ont pu salir le clergé. Là encore, priment pour lui la justice et la vérité, auxquelles les victimes ont droit. Il en aura été, selon sa devise, le premier des coopérateurs.

Le Pape Benoît marque les grands comme les petits de ce monde par la clarté de son enseignement. Il explique la foi, en montre la cohérence, redonne l'envie de lire, et croit les jeunes capables eux aussi d'entrer dans cette intelligence du message évangélique.

- François arrive telle une bourrasque imprévue. Mais c'est une tempête de charité qui s'abat sur Rome et sur l'Eglise. Pape de la Charité, il ne renie rien de ses prédécesseurs, dont il parle toujours avec affection et reconnaissance. Il rappelle au monde et à l'Eglise que dans l'annonce de l'Evangile, l'amour inconditionnel de Dieu est ce qu'il faut annoncer en premier. Seul l'accueil de cet amour peut en effet permettre de comprendre les exigences morales qui en découlent. François reste le même: un homme de terrain, un bon pasteur, un pape qui parle un peu comme un curé, proche de ses fidèles. Presque un familier. Cette étonnante proximité bouscule, mais n'empiète pas sur l'autorité du Saint Père. C'est par sa bonté joyeuse, son audace, sa parole vivante et concrète que le Pape s'impose, à la Curie comme aux journalistes, aux pratiquants du dimanche comme à ceux qui demeurent «aux périphéries» et que François n'oublie jamais de citer.

L'Espérance, la Foi, la Charité. Trois vertus distinctes, mais qu'on ne peut opposer. Trois vertus qu'on appelle « théologales », car elles sont des dons de Dieu et mettent directement en lien avec lui. Jean-Paul II, Benoît XVI et François … trois hommes hors du commun, trois personnalités fortes, si différentes et si reliées l'une à l'autre, trois dons de Dieu au monde et à l'Eglise, pour nos générations et celles qui viendront.