De l'ouvrage « Ma vie à Nazareth » :
- extraits du message donné le 2 avril 1988, pages 461 et 462 :
« Avant de quitter la terre, J'ai regardé le monde en Dieu pour le bénir en Son Nom.
Je quittais ainsi les heures de nostalgie et les sentiments de mélancolie pour m'unir à Jésus dans la gloire.
Après Sa mort, après toute cette douleur de Le voir souffrir sans pouvoir Le soulager de sa souffrance, Je suis restée comme pétrifiée : la douleur la plus profonde !
Après la Résurrection, Jésus a laissé cette empreinte sur le linceul pendant que la Lumière du Père l'illuminait pour Le faire ressusciter comme Dieu.
Ce visage souffrant était pour Moi un supplément de douleur. C'est pourquoi J'ai donné ce tissu de lin à Johanan [L'apôtre Saint-Jean], qui l'a donné à une de ses amies nommée Sintica. Ensuite J'ai donné les bandes à Luc [L'évangéliste Saint-Luc].
Ces bandes sont encore cachées dans une statue de bois. Leur découverte sera un miracle pour un temps futur, comme le Visage de la douleur de Jésus, le linceul en est un pour aujourd'hui. Un long chemin et une longue histoire ! Le linceul est un miracle, certainement pas un faux [...].
Quand J'ai vu le Visage de la douleur de Jésus sur le linceul, J'ai compris qu'il s'agissait d'un miracle du Père. Mais Je devais le donner à Johanan. Il devait faire un certain chemin pour que vous puissiez le garder et ceux qui viendront après vous aussi [...].
Quand J'ai vu sur le lin l'empreinte du Visage de la douleur, c'était comme si une nouvelle épée transperçait Mon Coeur ».